Introduction à l'alternative sceptique • Méthode Z

Les médias traditionnels comme les médias alternatifs déçoivent par leur manque de fiabilité. Et s'il existait une 3ème alternative ?

Suivez cette série proposée par Mr. Sam - Point d'interrogation dédiée aux scepticismes et découvrez la Méthode Z !

C'est quoi la communauté sceptique ?
Vous ne savez pas qui sont vraiment les sceptiques par Mr. Sam
« Pas sûr que j'en sois assez sûr. »

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Intro

« — La communauté sceptique désigne l'ensemble des personnes partageant les mêmes préceptes issues de la Zététique, une discipline qui se définie comme étant l'art du doute. Cela consiste à douter de tout et à rejeter les informations qui n'ont pas été prouvées scientifiquement ainsi qu'à favoriser les informations officielles quand elles n'ont pas été démontrées fausses.

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— Oh, tu me fais marcher là ?

Non.

— Non ? Beh, mais, mais toi non. Vraiment, Non. Non.

Veuillez préciser ?

— Beh, art du doute ? Prouver scientifiquement ? Informations officielles ? On fout ce qu'on veut là dedans. Y a rien qui va dans ta phrase !

Donc, non ?

— Voilà ! Comme quand c'est oui. Sauf que c'est non. »

La Méthode Z
La Méthode Z par Mr. Sam

État des lieux

Les grands médias et les gouvernements ont perdus la confiance de beaucoup de gens. Conflits d'intérêts, informations partiales, tronquées ; quand c'est pas complètement fausses. Inconsistence et incohérances dans les discours et les prises de décisions. Alors de façon parfaitement sensée, les gens —et c'est peut-être de vous que je parle— se sont tournées vers les paroles libres, qui —même si elles sont moins professionnelles— ne sont pas embourbées dans ses sacs de nœuds de suspission tout azimut comme peuvent l'être les grands médias et les communications gouvernementales.

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Problème ? C'est lieux de paroles libres —les médias alternatifs— sont un refuge idéal pour tous les afabulateurs en manque de tribunes. Ajoutez à cela une majorité d'orateurs sincèrement bien intentionnés et convainquants —mais pas aussi bien renseignés qu'ils le laissent entendre—, et vous vous retrouvez avec une parole, certe libre, mais truffée d'informations qui ne survivent pas à une vérification rigoureuse.

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Autrement dit, vous vous retrouvez avec le choix entre de l'info potentiellement manipulée par les puissants ou des réseaux truffés de fake news et d'hypothèses complotistes. En 2021, il est extrêmement difficile de savoir à quel saint se vouer.

Mais il existe une troisième alternative.

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C'est pourquoi je vous propose de rejoindre la communauté sceptique qui dit toujours la vérité. Haha... non, je déconne. Nan mais vraiment, y a vraiment des sceptiques qui pensent ça, et donc, là aussi, on va faire un petit peu de nettoyage.

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D'un côté comme de l'autre, on comprend assez mal ce que sont censés être les sceptiques. Oui, parce que —comme je viens de le dire— même les sceptiques comprennent mal ce qu'ils sont censés être. De nombreux média traditionnelles nous prennent pour des sous-journalistes qui s'amusent à enquêter sur « Vikipedia ». Et de nombreux média alternatifs nous prennent pour des agents de la pensée unique au service des industriels.

[Genre] « — Chacun de nous contribue à la réussie de l'entreprise. »

Pourquoi ? Et bien parce qu'en fait, on est d'accord ni avec l'un, ni avec l'autre. Dans le scepticisme, on ne choisit pas une source en qui on va avoir confiance par défaut. On écoute un maximum de sources et d'opinions, quelque soit leurs provenances. Et puis, on pèse la valeur de l'information en fonction de la robustesse des raisons d'y croire qui nous sont présentés.

Source, Méthode, Prudence
Source, Méthode, Prudence par Mr. Sam

Les sources, la méthode employée, le niveau de prudence. etc. Ça a l'air simple dit comme ça, mais avec un peu de contexte c'est ce qui conduit à l'existence d'une bonnes vingtaines de chaines YouTube sur le sujet, avec des centaines de vidéos. Et des blogs, plein de blogs. Et une communauté tout autour.

La communauté sceptique !

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Alors si vous aussi, vous vous êtes fait avoir par des grands médias peu scrupuleux, des théories du complots, des beaux parleurs charlatants, des politiciens contradictoires, des croyances irrationnelles ou même, la publicité...

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Vous êtes au bon endroit !

Vous vous êtes déjà demandé pourquoi vous ou un proche tombez encore et encore dans les mêmes pièges, alors que vous pensiez que la leçon était apprise ?

Vous n'êtes pas seul !

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La communauté sceptique, c'est LA communauté des gens qui s'intéressent au scepticisme : c'est à dire « quand », « comment » et « pourquoi » il convient de « douter » ou de « croire ».

Quand • Comment • Pourquoi Douter / Croire
Quand • Comment • Pourquoi
Douter / Croire par Mr. Sam

Définition de ce qu'est la communauté sceptique

Ouais, bon ok. Avec un peu plus de subtilité, je dirais que c'est la communauté des gens qui s'intéressent en priorité à la solidité des raisons de croire ou de ne pas croire en quelque chose. C'est pas la même chose hein : le sujet, et la solidité des raisons d'y croire.

Si on y réfléchi un peu, bah, tout ça ne peut que conduire de nombreux sceptiques à parfois défendre des positions plutôt impopulaires, parce qu'en fait, elles sont juste mal documentés auprès du grand public. Alors que l'objectif, beh, c'est comme pour la plupard des gens. C'est juste : faire le bien, sauver des vies, être progressiste, etc. Mais ça rend pas très populaire d'expliquer aux gens que les raisons pour lesquels ils militent pour un truc qui leur tiens à cœur reposent sur des fakes news, des infos imcompletes ou fausse.

Une affirmation vs les raisons d'y croire
Une affirmation vs les raisons d'y croire par Mr. Sam

Le sceptique idéal

Le sceptique idéal —qui se demande si le médicament « Bobotamal » est efficace— n'aura pas comme premier réflexe de demander à son voisin s'il en est satisfait. Parce que son voisin peut tout à fait être sincèrement satisfait d'une fausse thérapie chelou genre un grigri. Et donc, bah c'est pas un argument super solide. Le sceptique idéal est censé chercher les meilleurs arguments. Et s'il n'en trouve pas après avoir bien cherché : il a de très bonnes raisons d'ajouter son curseur sur « peu crédible ».

« — Le Bobotamal marche sur moi, donc je sais que c'est efficace.

— Oui mais [il faut également savoir que]

Les grigris marchent sur moi, donc je sais que c'est efficace.

— ... Allez. Ffft, ffft, dégage... »

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Conclusion : me dire qu'un remède marche sur sois, donc c'est efficace, n'est pas une raison suffisante pour que j'augmente significativement ma croyance au remède.

Bon, alors du moins, cette analyse des raisons de croire quelque chose, est censé être le « goal » de cette commu : pas toujours atteint. Mais ça, on va en reparler.

Les dangers de la méthode populaire

Dans le quotidien, on croise une majorité de gens qui pensent que c'est leur expérience combiné à leur intuition qui permet de moins se faire pigeonné que les autres. Et en général cette expérience et intuition leur fait plutôt confondre une information solide avec une information populaire. Mais en gros, la plupart des gens se demandent « qui » croire avant de se demander « que » croire. Même moi, je le fais. Et c'est bien normal. On en reparlera : on ne peut pas être expert en tout. Mais ma petite trousse sceptique me permet quand même d'avoir rapidement et simplement d'autres éléments pour juger de la pertinence d'une information.

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Les informations contrôlées (illustration)

Et il n'y a pas que la recherche du meilleur expert ou du meilleur site à croire, hein. Par exemple, accrochez-vous bien parce que ma phrase va être un petit peu compliquée :

« — Nous avons “spontanément tendance” à accorder “moins de confiance” aux informations en fonction de la “probabilité” que ces informations soient “contrôlées”.

Moins de confiance aux informations potentiellement contrôlées
Moins de confiance aux informations potentiellement contrôlées par Mr. Sam

Voilà. Maintenant je mets un petit dessin. Voilà. On comprend mieux.

Et maintenant je mange une pomme. Parce qu'elle était là. Elle me faisait envie. C'est bon. »

Les avis sur Tripadvisor, par exemple, vous paraitront plus crédibles que les avis sur le site web du même restaurant, parce que le restorateur à moins de contrôle sur les avis qui sont sur Tripadvisor que sur les avis qu'il y a sur son site web. Alors ; c'est pas idiot comme raisonnement bien sûr. Mais en vrai, c'est pas parce que je tape mon commentaire sur Tripadvisor ou sur le site du resto que mon commentaire est soudainement plus ou moins fiable.

Quand on ne connait pas l'autodéfense intellectuelle

Quand on ne sait pas qu'il existe d'autres méthodes diablement plus fiables, ou qu'on croit qu'on les connait mais quand fait, on les connait mal : on est bien souvent —et bien malgré soit— une véritable passoir à mauvaises interprétations, à fakes news, à théories fumeuses ou pour utiliser le terme spécifique employé dans la communauté sceptique : « À caca de taureau ».

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La communauté sceptique, c'est l'ensemble des gens qui s'intéressent aux techniques, aux méthodes, aux astuces qui permettent de pratiquer ce qu'on appel :

l'autodéfense intellectuelle.

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Mais ce mot, sceptique, il veut dire quoi, en fait ?

Vrai et faux sceptique ?

Qu'est-ce qui me permet de dire que quelqu'un qui croit aux théories du complot sur le 11 septembre n'est pas un sceptique, et que quelqu'un qui croit la version officielle sur le 11 septembre, est un sceptique ? Je veux dire : les deux sont pourtant bel et bien sceptique d'une version de l'histoire ? Ceux qui croient que Bush a commandité les attentats sont les sceptiques de la version officielle, tandis que ceux qui croient que Ben Laden a commanditer les attentats sont les sceptiques de la théorie du complot ?

Il y aurait des faux sceptiques ? Et des vrais sceptiques ?

« — Et des fausses sceptiques, haha. »

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Les sceptiques sur les réseaux sociaux

Les sceptiques —comme toutes les communautés millitants pour plus de quelque chose et moins de ceci et cela— sont hélas représentés par leurs membres les plus taquins sur les réseaux sociaux, dans les grands médias, etc, etc ; les plus affirmatifs et les plus sûr d'eux quand ils déclament une vérité ; les plus donneurs de leçons, ceux qui savent exactement ce que les autres ferraient mieux de penser, etc, etc. Un petit peu comme les fans de Star Wars.

« — Ou comme toi ? »

Et bon, avouons que cette attitude communautaire de sceptiques extrémistes plein de certitudes qui rejettent toutes les idées alternatives d'un bloc, en se moquant de ses opposants, et beh, on l'a pas volé. Pour une communauté qui s'intéresse aux problèmes de nos certitudes mals fondées, vu l'attitude de certain, bah, ça fait pas très cohérant.

« — Comme Star Wars.

— Là, oui, là oui. Là. Là d'accord oui. »

Alors du coup, on va tout de suite oublier cette partie désagréable de la commu sceptique et se focaliser sur ce qu'elle a de bon à vous apporter.

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Le scepticisme antique

À l'origine, le sceptiscisme est un courant philosophique dont l'objectif n'est pas du tout de faire moins d'erreurs, ou alors —comme ont le dit souvent entre sceptiques— de moins dire de trucs faux et de moins se faire avoir par des trucs faux. Nan, nan, nan, à l'origine, pendant la Grèce antique le scepticisme a pour objectif d'éviter les conflits de partis pris, de dogme. Et aussi de diminuer la souffrance qu'on ressent quand on se rend compte qu'on croit des trucs complètement faux.

Bah oui. Si je vous dit qu'en réalité, par exemple, les ceintures d'astéroïdes façon Star Wars, ça n'existe pas. Et qu'en réalité les astéroïdes sont séparés par plusieurs centaines de milliers de kilomètres : bah, vous ressentez une petite déception, une petite douleur. Alors imaginez pour des croyances plus importantes.

« — On tape beaucoup sur Star Wars dans cette vidéo... »

Les sceptiques antiques se soulagent donc de cette souffrance en partant d'un seul constat :

« — Il n'existe pas de “moyen objectif” pour reconnaître “la vérité”. »

Il n'existe pas de moyen objectif pour reconnaître la vérité
Il n'existe pas de moyen objectif pour reconnaître la vérité par Mr. Sam

Vous ne pouvez pas acquérir de façon rationnelle la certitude qu'une chose est vrai. Point. Non non non, même pas ce truc là auquel vous venez de penser. Et du coup, bah, exit le militantisme chevroné puisqu'il n'existe aucune possibilité objective d'être sûr qu'on est dans le vrai. Le sceptique antique est donc censé être au-dessus de tous les conflits et regarder avec tendresse et compassion ses semblables s'entre tuer et pourrir leur environnement pour des questions de « c'est moi qui a raison pour de vrai, et pas toi ».

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« — Bullshit, Fakes news, Bullshit, Bullshit, Fakes news, Bullshit...

— Ahh... je ne suis que tendresse et compassion pour cet homme qui pense avoir raison pour de vrai, et pas moi.

...Bullshit »

Bon, alors c'est une caricature. On peut être sceptique façon antiquité et quand même militer pour plein de truc. Mais... ça ne sera pas vraiment en tant que sceptique façon antiquité, du coup.

C'est quoi la communauté sceptique alors ?

Et surtout, à un moment donné de l'histoire, le scepticisme c'est complètement transformé en plus de s'être copieusement diversifié : Zétitique, Debunk, Scepticisme scientifique, Millitant sceptique, Rationnalisme, Cartésianisme ; c'est le Bordélisme.

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Mais alors c'est quoi la communauté sceptique ?

Je l'ai dit « La communauté sceptique c'est LA communauté des gens qui s'intéressent au scepticisme ». Sauf qu'en fait ça s'écrit « auXxxx scepticismeSsss », au pluriel.

La communauté sceptique c'est LA communauté des gens qui s'intéressent auX scepticismeS
La communauté sceptique c'est LA communauté des gens qui s'intéresse auX scepticismeS par Mr. Sam

Du coup entre eux les sceptiques sont loin, très loin, d'être d'accord ou unanime. Sauf, sauf sur la nécessité d'avoir de l'esprit critique. Mais encore, faut t-il se mettre d'accord sûr ce qu'est et ce que n'est pas l'esprit critique. Et là, mes amis, heyhéhéhé... on est pas arrivé.

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Comme c'est pas trop le sujet de la vidéo, on va faire simple. Les sceptiques partagent leurs connaissances des outils, des méthodes, des astuces qui permettent de vérifier la fiabilité d'une information. Et encore, méthodes qu'ils interprètent et utilisent souvent, en fait, assez mal. D'où là raison d'être de cette série de vidéo : intéresser les nouveaux venus à un scepticisme un petit peu plus subtile que d'habitude, et intéresser les connaisseurs à réviser leurs connaissances depuis mon point de vu.

Aucun sceptique n'a raison

Parce que, bah non, il n'y a pas de sceptiques qui a raison mais y a surtout beaucoup de sceptiques qui ont plus ou moins tort. Mais aucun ne détient LA méthode ni LA définition de ce que c'est d'être sceptique.

Un peu trop peu

Passons à ce qui ce dit à mon sens un peu trop peu.

« — Sympa à dire ça « un peu trop peu » : « un peu trop peu, un peu trop peu, un peu trop peu.

— 🎶 Un peu trop peu, un peu trop peu, un peu trop peu. Un peu trop peu, un peu trop peu, un peu trop peu. Un peu trop peu, un peu trop peu, un peu trop peu. Un peu trop peu, un peu trop peu, un peu trop peu. 🎶 »

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Saviez-vous, par exemple, que le Rasoir d'Ockham, l'un des outils les plus vantés et utilisé par les sceptiques n'a absoluement pas pour but de vous permettre d'être dans le vrai et conduit même à de nombreux biais. Saviez-vous ce qu'est le Rasoir d'Ockham et savez-vous ce qu'est un biais ?

Voilà, donc là c'est le moment ou vous vous abonnez à la chaine et ou vous cliquez sur la petite cloche parce que vous avez très très envie de briller en société sur ces questions.

Et c'est ce foisonnement de déssaccords entre sceptiques qui permet de faire émerger de nouveaux outils, de nouvelles pratiques, souvent inspirées des sciences pour s'approcher un peu plus de l'inatteignable vérité !

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Ce que ça change dans la vie

Mais demandons nous plutôt ce que ça change dans la vie :

« — Avant, quand quelqu'un disait quelque chose, j'utilisais mon bon sens et mon expérience pour savoir si c'était vrai. Et en fonction de ça, je l'ajoutais à ma théorie sur le monde. Je cherchais la vérité.

Aujourd'hui, lorsque quelqu'un dit quelque chose, je me demande “comment il sait que c'est vrai”, et si ce comment est une méthode qui permet vraiment d'éviter de croire un truc faux. Je cultive ma vision du monde avec les autres sceptiques en cherchant avant tout à comprendre ce qui peu nous conduire à commettre des erreurs. »

Et oui ! Personne n'a le super pouvoir de deviner la vérité au feeling : même si on en a tous l'intuition.

Ce qui intéresse le sceptique idéal

« — Le sceptique idéal s'intéresse aux “méthodes” qui permettent de “mieux penser contre” ce qu'il a envie de “croire”. »

Le sceptique idéal s'intéresse aux méthodes qui permettent de mieux penser contre ce qu'il a envie de croire
Le sceptique idéal s'intéresse aux méthodes qui permettent de mieux penser contre ce qu'il a envie de croire par Mr. Sam

Et c'est de cette fameuse méthode que cette série va parler.

« — Héhéhé ouuiiii. Après avoir vu mes vidéos, vous serez beaucoup plus intelligent, beaucoup plus fort, et pour certain même : beaucoup plus beau. Parce que bon... là... »

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« — J'avais raison de dire que les sceptiques doutent de tout.

— Absoluement pas. Je veux dire, on doute que lorsqu'il y a de bonnes raisons de douter et on ne croit que lorsqu'il y a de bonnes raisons de croire. Et puis parfois, on se plante aussi, parce qu'aucune solution n'est parfaite : il y a toujours un font de subjectivité.

Veuillez définir “bonnes raisons”.

— Bah ça, c'est justement de ça qu'on va parler dans la suite. »

Outro

« — La “méthode Z” est ce que vous en ferez.

Vous pouvez en faire une arme pour “remporter les débats”, mais n'espérez pas que “l'autre change” subitement d'avis.

Vous pouvez en faire un miroir pour “avoir moins tort”, mais apprêtez-vous à vivre dans un monde qui a beaucoup plus de “certitudes” que vous.

Vous pouvez en faire une bouée pour “aider les autres” à sortir de croyances toxiques, mais vous ne pourrez “forcer personne” à l'utiliser.

La méthode Z est ce que vous en ferez, alors “prenez-en soin”. »

La méthode Z est ce que vous en ferez, alors prenez-en soin
La méthode Z est ce que vous en ferez, alors prenez-en soin par Mr. Sam

À propos de Mr. Sam

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