Tous les articles pour Techniques de Dev

  • SQL brut VS constructeur de requête VS mappage d'objet-relationnel en Node.js avec JavaScript

    Dans ce billet de blog, nous allons comparer trois grandes différentes manières d'interroger une base de données relationnelle avec le langage de programmation JavaScript depuis Node.js souvent croisés sous les termes de “Raw SQL”, “Query Builder” et “ORM”.

    Les bases de données sont au cœur du stockage de l'état de presque toutes les applications web. C'est pourquoi il est essentiel de bien prendre en charge les interactions avec la base de données pour garantir le bon fonctionnement d'une application JavaScript. Une façon d'interagir avec bon nombre de bases de données relationnelles est d'utiliser le SQL (“Structured Query Language”). Le SQL permet de changer très facilement de système de base de données ou de client utilisant cette base de données. Avec votre client, vous pouvez ensuite effectuer les interactions CRUD typiques : C (“Create”) pour Créer, R (“Read”) pour lire, U (“Update”) pour mettre à jour et D (“Delete”) pour supprimer des données.

    Après avoir lu cet article, vous en saurez plus sur les différences entre du SQL brut (“Raw SQL”), un constructeur de requêtes (“Query Builder”) et un mappage d'objet-relationnel (“ORM”). Vous saurez également comment utiliser chacun d'entre eux en JavaScript par l'exemple.

    Bien que cela ne soit pas nécessaire à la lecture et la compréhension de cet article, tout le code de ce billet est testable après installation du projet associé qui se trouve dans ce dépôt GitHub. Vous devez juste installer un serveur MySQL et Node.js sur votre environnement local. Nous allons faire la supposition que vous êtes déjà familier avec les bases du SQL et du JavaScript en ce qui concerne la compréhension des exemples. Sinon les conclusions, elles, restent abordables pour les non développeurs également (je suppose, je suis mal placer pour le certifier du coup).

    Pour initialiser la base de donnée et les tables que nous allons utiliser dans ce billet, vous pouvez utiliser le script database-users-roles.js avec la commande node database-users-roles.js depuis le projet GitHub.


  • Modules JavaScript natifs et isomorphisme avec import, export et require

    Isomorphisme

    Si vous êtes développeur web, vous devez savoir que pour que l'utilisateur final puisse afficher une page web sur son navigateur via le protocole HTTP, il faut deux choses : un code client, et un code serveur :

    • Dans son plus simple appareil, le code serveur est délivré par un serveur web comme Apache, nginx ou encore IIS à partir d'un fichier. Dans de nombreux cas, ce n'est pas à partir d'un fichier HTML, mais à partir du résultat créé en analysant du code serveur dans des fichiers PHP, .NET, Python, Ruby, etc. qu'est généré le rendu HTML.

    • Côté client, une fois la page reçue, le HTML sert de base au navigateur pour construire un DOM qui permettra d'afficher le site web. C'est alors le code JavaScript appelé par la page qui permettra de changer le DOM et donc, de faire des interactions à l'écran.

    Le développeur à donc deux travaux, développer un code qui fonctionne côté serveur et développer un autre code qui fonctionne côté client (le serveur web étant là passerelle entre client / serveur), d'où la séparation connu des rôles de développeur frontend (partie cliente) et développeur backend (partie serveur).

    Imaginez que l'on puisse, à partir d'exactement le même code, produire du code côté serveur et côté client ! C'est ce que l'on appelle l'isomorphisme. Un code isomorphique est un code qui peut-être exécuté par le serveur et par le client.

    Nous allons donc utiliser le sujet de l'isomorphisme comme fil conducteur dans cet article pour traiter :

    • de l'import / export de Modules ECMAScript en version 6,
    • du JavaScript côté serveur avec Node.js,
    • des équivalences ECMAScript version 5 pour le require / export,
    • de l'isomorphisme exploitable pour faire du web avec Vanilla JS et Node.js.

  • Comprendre et reproduire les animations de transitions Vue.js en CSS et JavaScript

    En tant que traducteur principal de la documentation officielle française de Vue.js, lors de la traduction de la page Transitions d'entrée, de sortie et de liste, j'ai été bluffé par la simplicité de gestion des animations de transition proposé par Vue.js. J'ai mis un peu de temps à comprendre exactement comment ça pouvait fonctionner sous le capot et je vous propose de faire ce cheminement de compréhension ensemble à travers cet article.

    Cela vous permettra :

    • De reproduire une fonction permettant de réaliser des animations de transition simple.
    • De comprendre comment fonctionne le système d'animation de transition de Vue.js.
    Transitions Vue.js
    Source : https://fr.vuejs.org/

  • Séparations des rôles du HTML / CSS / JavaScript et mise en application

    Cet article fait office de conventions d'architecture d'un site web orienté composant pour la partie cliente, peu importe la technologie d'implémentation finale, de manière à ce que le code soit valide, performant et maintenable par des développeurs front-end, des développeurs back-end ainsi que des pousseurs de contenu. Ces techniques étant en constantes évolution, et les problématiques évoluant au fur et à mesure de mes itérations créatives, cet article est voué à se compléter et changer.

    Contenu, apparence et comportement
    Contenu, apparence et comportement

  • Quelles conventions CSS utiliser pour des structures HTML réutilisable ?

    Je viens de (re)terminer la lecture du Guide CSS Fr et j'ai eu envie d'apporter quelques modifications et ajouts à ces très bons conseils. Cet article va donc en quelque sorte constituer mes conventions en matière de création et maintenance HTML et CSS. Elles sont donc identiques à ce qui est écrit sur Guide CSS Fr à cet article prêt !

    Anatomie d'une règle CSS
    Affreux sélecteur... http://www.puce-et-media.com/

    N'ayant rien à ajouter aux parties autres que « 4. Convention de nommage », je passe directement à mes propres conventions de nommage en vous sensibilisant à l'anatomie d'une page HTML.

    Je finirai néanmoins par pointer du doigt une erreur, sinon la seule, en ce qui concerne la totale inutilité du préfixe .js- destiné à séparer le visuel du fonctionnel.

    Note : Tous les exemples d'inclusion de fragment HTML sont tirés du framework Node.js NodeAtlas mais c'est juste à titre illustratif, c'est la même chose avec vos frameworks préférés.


  • Cas pratique : corriger rapidement une régression HTML ou CSS avec Git

    Les tests de régression d'interfaces sont souvent les plus difficiles à repérer car ils nécessitent l'intervention de l'œil humain et ne peuvent pas être automatisés par des tests unitaires aussi simplement que du code logique. Il faut donc refaire une passe de vérification sur les pages où la CSS et la structure HTML ont changé pour voir si tout est en ordre et cela, dans toutes les tailles d'affichage.

    Autant vous dire qu'en fonction du budget, ce travail n'est pas fait à chaque fois que le code est acté (« commit ») dans Git et qu'il arrive qu'une « régression visuelle » soit repérée quelques temps après qu'elle se soit glissée dans le projet.

    Plus sournois, si la vérification n'est pas faites à tous les coups, les regressions visuelles qui n'empèchent pas la navigation mettent souvent longtemps à être signalées car personne n'est « bloqué ».

    Site web exemple
    Site web exemple

    Nous allons donc voir à travers un exemple comment réparer rapidement une régression HTML ou CSS avec l'utilisation du système de version Git et la plateforme GitHub.

    Note : si vous avez la moindre question à propos de la procédure exposée ci-après, n'hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaitez revenir avec un peu plus de bagage à propos du fonctionnement de Git, n'hésitez pas à lire cet article pour enfin comprendre Git et GitHub !


  • Comment faire du routage strict avec Vue Router et Vue Server Renderer ?

    L'URL www.example.com/foo n'est pas la même URL que www.example.com/foo/. Or, si cela n'est pas gênant dans une application monopage (plus loin SPA pour « Single Page Application »), cela devient critique pour de l'optimisation de moteur de recherche (plus loin SEO pour « Search Engine Optimization ») dès lors que le contenu est généré côté serveur.

    Côté serveur, les routeurs comme celui d'Express possèdent un mode strict pour que l'adresse /foo ne soit pas la même que l'adresse /foo/. Mais qu'en est t-il de Vue Router ? Et surtout, comment faire concorder le routage client et le routage serveur pour que l'hydratation (la prise en main côté client d'un rendu côté serveur) concorde ?

    Je vous le donne en mille : de base, là où Express en mode strict vous renverra une page 200 pour /foo/ et une page 404 pour /foo, Vue Router lui, en mode strict, vous renverra exactement l'inverse !

    Comment dans ce cas utiliser Vue Router et Vue Server Renderer pour du routage strict dont les moteurs de recherche sont si friand pour une SEO à toute épreuve ? La réponse à la fin !

    Cependant, afin que ce billet soit utile également pour ceux n'ayant pas (encore) ce problème et qui souhaitent découvrir par l'exemple comment fonctionne du SSR avec Vue (et de facto, qu'est-ce que c'est réellement), je vais élaborer un code pour vous accompagner dans cette compréhension, pas à pas. Seulement ensuite nous mettrons en évidence notre problème avant de le résoudre.


  • Pourquoi vous ne comprenez rien au JavaScript ?

    Vous avez un pied dans le monde du numérique depuis quelques années, ou vous côtoyez les métiers du web de près ou de loin, et pourtant vous ne comprenez pas totalement encore les problématiques des développeurs Front-end, ou même maintenant des développeurs Full-stack.

    Pourquoi finalement ne peut t-il pas « simplement » y avoir un développeur web comme au bon vieux temps. Quelle est là réelle différence avec un intégrateur HTML/CSS ? Pourquoi le web client n'est t-il plus si abordable pour les développeurs ? Pourquoi coûte t-il si cher à présent ?

    Je vous propose, à partir d'une petite discussion fictive entre, un acteur du numérique qui n'a plus l’œil partout, et un développeur Full-stack sur le feu, de mettre en lumière en quoi le web d'aujourd'hui est « compliqué ».

    Cet article est inspiré et adapté en français de l'article « How it feels to learn JavaScript in 2016 », lui-même inspiré par « It's The Future » que j'ai modifié pour y apporter ma propre expérience. Vous pouvez lire les articles originaux respectivement ici et ici.

    Cet extrait n'est qu'une mise en situation, et tout comme n'importe quelle bibliothèque JavaScript, il ne devrait pas être pris trop au sérieux !

    En espérant que vous y apprendrez des choses !


  • Enfin apprendre et comprendre le JavaScript !

    ES7 est déjà dans nos chaumières et, en plus d'être « à peu près au point » avec ES5, vous n'avez toujours pas digéré ES6 !

    Quelle est concrètement la différence entre TypeScript et JavaScript ?
    Quelle est concrètement la différence entre TypeScript et JavaScript ?

    Il va être temps de nous y pencher de plus près sur ce blog pour aborder la suite de l'aventure JavaScript sereinement. Cet article à pour but, de vous en apprendre plus sur les versions ES3 et ES5 de JavaScript dites « Vanilla JavaScript » tout en les comparant à des équivalences ES6 dites « Harmony JavaScript ». Cela nous permettra de comprendre en quoi ces améliorations peuvent nous aider au quotidien.

    Nous allons éplucher les fonctionnalités dans un ordre logique d'apprentissage et explorer les mécaniques sous-jacentes. Nous allons même nous permettre, en amont, de réviser un peu les bases. Ça risque d'être long alors, de la même manière que cet article va être publié en plusieurs mise à jour, n'hésitez pas à le lire en plusieurs fois !


  • Et si vous compreniez enfin Git et GitHub ?

    Si Svn (Subversion) est la version « client-server » d'un système de gestion de version, alors Git en est sans conteste la version « peer-to-peer ».

    Si vous découvrez le système de gestion de version Git et que vous l'utilisez seul et occasionnellement, il existe peut-être encore beaucoup de zones d'ombre pour vous sur son utilisation ainsi que sur la totalité des possibilités offertes. D'ailleurs, êtes-vous réellement sûr de comprendre la portée de ce système de gestion de version distant et distribué ?

    Bien que le contexte de vie soit détruit, les zombis vivent toujours, enfermés, tel des variables dans une fermeture.
    Réseau distribué : xkl.com

    C'était également mon cas. Tout le long de mon amélioration continue de l'utilisation de Git, je vais maintenir cet aide-mémoire. Il abordera :

    • la raison d'être de Git par l'exemple,
    • la description des actions de Git pour un travail sur une branche,
    • la description d'une méthode de travail multi-branche avec Git et
    • le description de Git avec de multiples sources via GitHub.

    Si vous ne connaissez vraiment pas grand chose à Git n'hésitez pas à lire : Démarrage rapide de GIT et particulièrement :


  • Est-il si null cet undefined ?

    Si vous faites du JavaScript régulièrement —et il est de plus en plus difficile d'y couper si vous êtes développeur web—, vous vous êtes peut-être déjà posé cette question : « Quelle est la différence entre la valeur null et la valeur undefined ? ». Question qu'on ne se pose pas quand on vient d'un autre langage. Null vs Undefined

    Si nous résumons ensemble nous pouvons tomber d'accord sur le fait que :

    • Null et Undefined sont tous les deux des types ne possédant qu'une seule valeur ; les constantes respectives null et undefined.
    • Ils s'utilisent tous les deux pour indiquer « l'absence ».
    • Ils sont tous les deux évalués à false dans un contexte booléen (ex. : dans une structure de contrôle conditionnelle if, avec l'opérateur binaire d'égalité a == b, avec l'opérateur ternaire conditionnel a ? b : c, etc.).

    En gros, ils servent donc à la même chose non ? Cette réponse ne me convient pas car, même s'il est vrai qu'à chaque première vu les comportements JavaScript semblent « loufoque », l'expérience m'a toujours montré que « c'était moi » qui n'avait pas compris correctement le JavaScript. Si les deux types existes, il y a probablement une distinction. Voici ce qui en est concrètement dit :

    La valeur undefined appartient au type primitif Undefined et est utilisée quand aucune valeur typée n'a été assignée à une variable.

    La valeur null appartient au type primitif Null et représente l'absence de valeur, la non-existence d'une référence dans une variable.

    La distinction est plus clair ainsi non ? Pas vraiment... On va retrousser nos manches et regarder un peu ce qu'on peut éclaircir. Si vous n'avez pas le temps de suivre l'explication exhaustive (et intéressante je l'espère) qui va suivre, je vous laisse filer à la conclusion qui répond à cette question. Si par contre vous êtes curieux et/ou avez le temps de comprendre les différences, c'est juste en dessous !


  • Vue + NodeAtlas : de l'art du SSR ou Rendu Côte Serveur avec JavaScript

    Nous allons voir dans cet article comment faire du rendu côté serveur ou SSR (Server-Side Render) avec le framework JavaScript client MVVM (Modèle-Vue-Vue Modèle) Vue couplé au framework JavaScript serveur MVC(2) (Model View Controller) NodeAtlas !

    Alors ce titre parle peut-être aux habitués des architectures clientes MVVM qui ont des difficultés avec le référencement et semble peut-être barbare pour d'autres. Lançons-nous dans une petite explication histoire de rendre cet article intéressant également pour les néophytes : comprenons le problème et trouvons la solution à travers cette page.

    Quel est le problème traité dans cet article ?

    Le problème avec les frameworks MVVM client est qu'ils construisent le site à partir de rien. Fouillez la source du code de la réponse HTTP de la page courante, celle lue par les indexeurs de contenus ou les navigateurs sans JavaScript ; il n'y a rien. Aussi, si je crée une liste d'actions futures pour la roadmap de ma super App, et que je souhaite pouvoir manipuler aisément (ajout et retrait) ses éléments grâce à un coupleur de données vue-modèle ; le revers de la médaille sera que les informations utilisées pour cette construction proviendront de fichiers JavaScript ou morceaux de HTML qui ne veulent rien dire pour les indexeurs où même les validateurs de page. Vos sites sont donc souvent « SEO merdiques » et « W3C bancales ».

    Quelle solution ?

    Le SSR ou Rendu Côté Serveur. Voyons ça au travers de cette page exemple avec Vue et NodeAtlas !


  • Éviter le détournement de clic par iFrame de votre site

    J'en vois déjà venir d'assez loin : « les iFrames c'est old school ». Ça me rappel l'époque ou les Frames « c'était old school ». Pour les gars du fond, une iFrame permet d'insérer dans la page courante d'un site le contenu complet d'une autre page. Et si vous ne vous y intéressez plus car vous n'en voyez pas l'intérêt, sachez que d'autres peuvent le voir.

    Effectivement, vous n'êtes pas à l'abri de retrouver une page de votre site dans l'iFrame d'un autre site. À partir de là, pas mal de scénarios sont envisageables ; du moins dérangeant comme la solicitiation de votre serveur à chaque fois que la page du site embarquant votre page est réclamée aux plus génants comme le détournement de clic (clickjacking).


  • Créer et maintenir des maquettes HTML avec NodeAtlas

    NodeAtlas est une application multi-os écrite en Node.js qui va vous permettre de créer, modifier et maintenir tout un ensemble de maquette HTML. Ces maquettes HTML pourront ensuite être validées par le client, et ré-utilisées totalement ou en partie par les développeurs Back-end quelque soit leurs technologies. Ces maquettes HTML pourront également servir de site stand-alone fonctionnant sans serveur ou avec un simple serveur HTTP pour créer des documentations JSDoc ou autre comme pour GitHub par exemple. C'est ce que nous allons voir dans cet article.

    Mais NodeAtlas permet également de faire tourner des sites web complet, performant et rapide tel que le site sur lequel vous être entrain de lire cet article.

    NodeAtlas est designé pour :


  • Version mobile et version desktop : ça n existe pas !

    J'entends tous les jours qu'une « version mobile n'est pas une option », sous entendu que l'on souhaite créer une version de site pour mobile et une version de site pour desktop « en même temps » et derrière la même adresse. J'entends aussi qu'il serait bien de s'occuper d'une « version tablette » pendant qu'on n'y est !

    Pour réaliser cela, quoi de mieux que l'utilisation du Responsive Web Design !

    Jusque là tout va bien me direz-vous ? Pas du tout.... Une « Version Desktop », c'est tactile ? Une « Version Mobile », ça a pas de bande passante ? Et bon sang, c'est quoi une « Version Tablette » ?

    Stop version desktop et mobile !

    Même si dans la théorie tout le monde croit se comprendre —avec des histoires de tailles—, je me sens contraint et forcer de faire du « Gloubi-boulga » quand j'utilise les spécifications imposées proposées par un client ou pire parfois... par un professionnel. Et cela au lieu de faire ce qu'on me demande en premier lieu, du Responsive Web Design.

    La simple évocation de « Mobile vs. Desktop » est une preuve flagrante de l'incompréhension total de la chose. De la même manière que certain pensant utiliser une méthode Agile s'y prennent en réalité à La RACHE ; il est intéressant de s'assurer ici qu'on ne confond pas tout.


  • Coder proprement en JavaScript par l'exemple : upload d'image

    Dans cet article il ne va pas être question d'expliquer l'utilité du point virgule (« semi-colon ») ; ou encore les bienfaits de l'opérateur d'égalité stricte (« strict equality operator ») === mais plutôt de vous démontrer par l'exemple comment produire du code que vous et les autres pourrez relire sans entrer dans les détails si cela n'est pas nécessaire.

    Clean Code *Source : http://fr.slideshare.net/pazscall/clean-code-design-patterns*

    Nous allons tout au long de cet article aborder plusieurs notions comme :

    • La programmation par intentionintentional programming ») ou le fait de rassembler et nommer chaque suite d'instruction dans une fonction pour rendre le code aisé à la relecture.
    • La programmation par fonction de rappelfunction callback ») ou le fait de déléguer à une fonction externe ce qu'il va se passer à la fin d'une suite d'instruction.
    • La programmation par entrée / sortieI/O ») ou le fait que chaque fonction doit clairement définir ce qu'elle attend en entrée (« inputs »), et ce qu'elle renvoit en sortie (« outputs »).
    • La programmation asynchrone ou le fait d'attendre un évènement ou un temps précis sur un tour (« tick ») de la boucle d'évènement (« Event Loop ») avant l'exécution du code.

    C'est parti pour apprendre tout ça à travers un exemple d'upload de fichier.


  • JavaScript et callback par nom de paramètre comme dans AngularJS

    Ce qui m'a interpellé la première fois que j'ai pu m'essayer à AngularJS, c'est la possibilité offerte de sélectionner les services que l'on souhaite en les récupérant par leur nom d'argument, et non par leur position d'argument. Ce concept n'existe pas en JavaScript et pourtant le fait est bien là : function ($scope, $http) ou function ($http, $scope) renvoi les bons contenus de variable en fonction de leurs noms et function (scope, $http) vous dit que scope n'existe pas !

    Accès par nom de paramètre
    Accès par nom de paramètre

    Comment cela est-il possible en JavaScript ? Il est possible de « simuler » un passage par nom d'argument avec un type Object en utilisant ses noms de propriété, mais là, il s'agit bel et bien de différents arguments.

    Voici le petit exercice que je vous propose dans cet article, faire du « Reverse Engineering » sur le mécanisme « caché » permettant aux fonctions de rappel (callback) JavaScript de délivrer leurs arguments par « nom d'argument » en lieu et place du mécanisme natif qui est par « position d'argument ».

    Note : on parle souvent de passage par « nom de paramètre » dans les autres langages. Ici, en réalité, il s'agit plutôt de passage par nom d'argument car cette fonctionnalité est associée aux arguments fournis par la fonction de rappel et non aux paramètres que l'on fourniraient à une fonction. Pour rappel on fournit des arguments en déclarant une fonction, et on passe des paramètres en exécutant une fonction.


  • Utiliser AngularJS en respectant les recommandations W3C et SEO

    AngularJS est un régale pour toute création d'Application Web de petite et moyenne taille. J'entends par là, des ensembles d'interfaces web ou l'utilisateur est sollicité à participer au remplissage de contenu par l'intermédiaire de champs, listes, boutons, etc.

    AngularJS

    Le principe est le suivant : sortir le contenu utile du HTML pour le ranger dans un scope JavaScript afin de le manipuler plus aisément et parsemer le HTML de référence à ce scope de contenu. L'avantage est que le contenu a sa propre vie, et n'est plus figé dans le HTML et surtout toute mise à jour de contenu dans le JavaScript entraîne sa mise à jour dans le HTML, bien pratique.

    Le revers de la médaille est que la source HTML mangée par les moteurs de recherche pour le référencement ne ressemble plus qu'à un ensemble de variables, et les balises et attributs HTML rencontrés font pâlir n'importe quel validateur W3C.

    C'est parti pour un tutoriel vous expliquant comment contenter le W3C pour pouvoir correctement implémenter vos recommandations SEO avec AngularJS.


  • Gérer les Erreurs et les Exceptions en JavaScript

    Une étape bien trop souvent oubliée lors de la réalisation de scripts JavaScript est la gestion des erreurs. On se contente de colmater les problèmes à l'aide de try/catch quand ceux-ci sont remontés par l'interpréteur et... et c'est tout.

    'Erreur ou Exception ?'

    Voici les 3 principaux patterns a utilisés pour gérer vos erreurs JavaScript dans les navigateurs ou dans Node.js et pour ceux qui ont le temps, un petit topo sur la différence entre Erreur et Exception.


  • Vanilla JS - Documentation en français

    Vanilla JSVanilla JS

    Vanilla JS est un framework rapide, léger et multi-plateforme pour créer d'incroyables et puissantes applications JavaScript


  • Activer vos effets JavaScript en fonction de vos Media Queries

    Je viens de voir un code allembiqué permettant de maintenir la hauteur de deux <div> côte à côte. Problème ? Ces éléments ne sont pas côte à côte en version mobile mais l'un sous l'autre : et maintenir la hauteur dans ce cas là ne sert à rien. La semaine d'avant, j'ai vu un code avec une cascade de if permettant d'ouvrir une vidéo dans une popup sur PC et d'ouvrir un lien Youtube sur mobile. Bien évidemment, les petits écrans PC ouvraient une popup alors qu'il aurait été intéressant qu'ils ouvrent aussi un lien. Je vous fais l'impasse sur les comportements au redimensionnement de la fenêtre.

    Bref, lançons-nous dans un petit exercice pour permettre un code JavaScript Responsive Web Design, sans se soucier de l'appareil qui l’exécute.


  • La propriété CSS3 calc() pour arrêter avec les balises HTML imbriquées inutilement

    Dans de nombreux cas, on utilise des balises superflus pour gérer ;

    • la largeur total d'une grille avec les éléments externes et
    • l'espacement entre chaque balise avec l'élément interne. Parfois même,
    • pour appliquer de la couleur de fond, on utilise une troisième balise !

    C'est notamment le cas avec le framework CSS Bootstrap qui se fait vieux. Si vous vous ventez de ne plus suporter IE8 parce qu’il à fait son temps, alors il est également temps d'arrêter d'utiliser des balises inutiles !

    Voici un exemple d'ancienne pratique et son équivalence avec la propriété CSS3 calc().


  • Bootstrap, lisibilité, propreté, performance, optimisation ; c'est possible !

    On me dit souvent que je n'aime pas Bootstrap, et pour cause. Je pense que c'est une regression pour un travail front-end de qualité. En réalité, ce n'est pas le framework le fautif mais la façon dont il est utilisé. Les exemples de mauvaises utilisations sont légions sur le Net et les mauvaises intégrations HTML courent les rues.

    Suis-je donc entrain de dire qu'il y a une bonne et une mauvaise façon d'utiliser Bootstrap ? C'est exactement ce que je suis entrain de dire, et je vais vous expliquer à travers ce billet le cheminement qui va vous conduire à :

    • séparer le fond et la forme, pour un gain de lisibilité et de propreté,
    • inclure et générer le strict minimum pour un gain de performance, avec un exemple d'optimisation de CSS 30 fois plus légères !
    Bootstrap et Less
    Bootstrap et Less, themightycribb.com

    Non, je suis sérieux, ce billet n'est pas une blague. C'est cadeau, et c'est pour vous.


  • Pourquoi j'utilise l'unité Rem et non l'unité Pixel

    Lors des reviews d'intégration HTML à partir de valeurs fournis dans un PSD, on m'a fait remarquer que « les tailles de polices n'étaient pas bonnes » car elles étaient en rem et non en px. Aujourd'hui pire, on me somme de remplacer tous les rem par des px. C'est tout, c'est comme ça. Peut-être parce que l'on a peur que la conversion rem en px ne soit pas juste ou peut-être simplement parce qu'on ne sait pas bien à quoi sert le rem.

    Balise i en HTML4
    Comment gérer avec du Rem, css-tricks.com

    Sans entrer dans des détails techniques poussés, je vais vous expliquer pourquoi j'utilise rem.

    Je vous laisse également une petite démo temps réel plus bas dans l'article

    Allez, n'ayons pas peur, ce rem, il ne va pas nous manger !


  • Des sites web Node.js pour débuter en JavaScript serveur avec NodeAtlas

    Je vous propose de créer vos propres sites Node.js armés pour un rendu de qualité côté client et avec très peu de JavaScript. Vous pourrez ensuite, petit à petit et à votre rythme, vous plonger dans la partie Back-end JavaScript offerte par Node.js. Tout ceci est possible grâce au module npm (node.js package manager) NodeAtlas.

    NodeAtlas est un Framework JavaScript côté serveur orienté Front-end, c'est-à-dire qu'il permet de faire tourner des sites multilingues complets uniquement avec les parties Vue et Route d'activées le reste étant fait par le framework. Bien évidemment, en activant la partie Contrôleur et Modèle vous prendrez la main sur le JavaScript serveur et vous pourrez créer de grands sites de qualités avec tout ce que l'on est en droit d'attendre : compte utilisateur, envoi de message, chat en direct... ou de solides applications web couplées à des Frameworks Javascript Frontaux comme Vue ou même simplement du code maison ! Mais commençons par le commencement.

    Sachez que le blog sur lequel vous lisez cet article est fait avec NodeAtlas (obtenir les sources), ce qui lui permet de respecter facilement les standards HTML/CSS et de fournir sans efforts de hautes performances.

    NodeAtlas est designé pour :


  • Utilisation optimisée de Framework CSS comme Bootstrap avec Less

    J'ai déjà abordé le sujet des Frameworks CSS qui surchargeaient le DOM HTML inutilement et allait à l'encontre de la philosophie du W3C (séparation du fond et de la forme) dans un précédent article où j'expliquais pourquoi, par exemple, Bootstrap est une régression pour un développement Front-end de qualité.

    J'ai également expliqué comment reproduire l'équivalent de fonctionnalités utiles dans un Framework en respectant l'approche CSS-driven dans Grille CSS Responsive et Sémantique sans Framework.

    Je vais ici vous démontrer que cette méthode CSS-driven peut non seulement être grandement simplifiée avec l'utilisation des préprocesseurs CSS comme Less, Sass ou Stylus, mais qu'elle permet également d'exploiter les Frameworks tel que Bootstrap de manière propre et conforme à la philosophie de séparation de la sémantique et du design.


  • Éviter les multiples $(document).ready() dans vos pages web

    Une chose qui me gène avec la $(document).ready() de la librairie jQuery, c'est que c'est une magnifique porte ouverte aux mauvaises pratiques JavaScript. Elle empèche les développeurs web en herbe de se pauser les bonnes questions et pire encore, comme j'ai pu le constater récemment, aux développeurs à priori chevronnés d'en faire de même...

    Oui, le $(document).ready() peut être utilisé plus d'une fois dans un ensemble de fichier et oui, il peut être placé n'importe où dans une page HTML mais non, ce n'est absolument pas vous rendre service que de faire cela ! Ce n'est pas parce que l'on peut, que l'on doit.

    Mettre ces déclarations un peu partout rend plus difficile la relecture et le debug du code en empêchant de savoir qui s'exécute avant qui sans regarder l'ordre d'appel des fichiers. Effectivement, si cela semble simple et pratique quand 3 fichiers se battent en duel, cela peut rapidement devenir complexe. De plus, si une exception est levé dans l'un des $(document).ready(), aucun des autres n’exécutera plus rien du tout. Pour finir, le code est ralenti lors de l'appel de plusieurs $(document).ready() contre un seul, ou contre aucun d'ailleurs.

    $(document).ready() ZzzZz
    Don’t let jQuery’s $(document).ready() slow you down

    Dans cet article nous allons voir l'une des dizaines de façon de vous passer de $(document).ready() dans vos pages web. Le maître mot ? Un seul point d'entré pour l'ensemble du code exécuté sur une page. Vous trouverez également un exemple de la méthode décrite dans cet article dans ce repository GitHub.


  • Conserver un affichage Desktop sur mobile avec une version Responsive Web Design

    Depuis que le Responsive Web Design a commencé son invasion, beaucoup de site ne possède plus qu'une unique version qui gère :

    • un affichage complet pour écrans larges de type écran d'ordinateur (Desktop) et
    • un affichage léger et partiellement complet pour les écrans de type mobiles/tablettes.

    Cela revient souvent à inhiber des fonctionnements jugés peu utiles par les développeurs ou ergonomiquement trop instables pour être présentés sur les petits appareils et empêche alors :

    • d'afficher la version Desktop sur les mobiles/tablettes ou
    • d'afficher la version Desktop dans une fenêtre de navigateur rétréci.

    Je vous propose, à travers des exemples CSS-Driven, de vous expliquer comment gérer deux versions d'affichage de vos pages avec comme toujours une seule structure HTML sémantique.


  • Grille CSS Responsive et Sémantique sans Framework

    Il y a quelque temps, j'expliquais qu'il était difficile d'obtenir un travail Front-end de qualité avec des Frameworks CSS HTML-Driven. Le gros reproche que je fais à ces Frameworks est de prendre le contre pied de l'approche du W3C qui met tout en œuvre avec HTML5 et CSS3 pour complètement effacer toute trace de design dans l'architecture HTML et la rendre structurellement sémantique.

    Un Framework CSS c'est vraiment pratique pour ne pas trop se mouiller et gagner du temps parait-il. On me dit d'ailleurs souvent que les systèmes de Grid c'est bien pratique. Ce que j'en pense pour ma part c'est qu'on ne peut jamais sortir des chemins battu d'un Framework lourd à moins de parfaitement connaître les mécanismes de celui-ci pour le contrer. Et dès lors qu'on est assez aguerrit pour comprendre des mécanismes menant à des « abstractions qui fuient », on est alors assez aguerrit pour s'en passer.

    Sachez que l'on peut facilement se passer de Framework pour gérer une grille Responsive Web Design propre et maintenable en évitant ainsi d'horribles codes comme <div class="header col-xs-12 col-sm-6 col-sm-push-6 text-right-sm bg-info"> tout en restant maître de ce que l'on fait. Cette page CodePen en est un exemple.

    Suivez-moi, je vais vous montrer !


  • Bootstrap est une régression pour un développement Front-end de qualité

    Pourquoi je n'utilise pas Bootstrap ? Cela peut sembler une « évolution » de nos méthodes de travail front-end, mais gare au loup et attention de ne pas tomber dans un travers que le W3C tente d'enrayer au fur et à mesure des évolutions HTML et CSS.

    Commençons par le commencement. Qu'est-ce que Bootstrap ? Comme pleins d'autres « Bibliothèque » ou « Framework » CSS dans la même veine, Bootstrap est un outil permettant d'augmenter la productivité des développeurs front-end le maîtrisant, dans le but de fournir le plus rapidement possible un rendu visuel ergonomique et si possible responsive.

    Mon problème ne vient pas tant de sa finalité qui est louable, mais bel et bien de la mise en œuvre technique qui permet d'atteindre cette finalité. Pour être concis avant de développer : l'utilisation faites de Bootstrap est une régression pour un travail front-end de qualité.

    Je ne compte persuader personne, et à défaut de convaincre, je vais au moins vous expliquer mon point de vue.


  • Alignement de texte Responsive avec Bootstrap

    J'ai évoqué pourquoi je n'utilisais pas Bootstrap. Cependant, l'un des pré-requis pour un nouveau projet est de l'utilisé aussi j'ai retroussé mes manches pour approfondir la philosophie et j'ai déjà commencé à me casser les dents !

    Aligner un texte à gauche sur version mobile puis à droite sur version desktop est chose aisé en CSS avec les Media Queries. Gérer le fait que deux colonnes côte à côte sur version desktop passe l'une sous l'autre sur version mobile l'est également avec Bootstrap. Pourtant aligner un texte à gauche sur version mobile puis à droite sur version desktop aussi facilement que la gestion des colonnes n'est pas possible...

    Je vais vous présenter un petit pan de code remédiant à cela.


  • Structurer le JavaScript de son site avec ou sans Framework

    On me demande souvent quelle est la structure JavaScript que j'utilise pour développer mes sites web. C'est une question à laquelle je ne sais jamais si un simple « jQuery » suffit ou si l'on s'attend à m'entendre répondre « Knockout », « AngularJS », « Vue.js », « React » ou encore, « RequireJS » ou je ne sais quelle autre composant/librairie/framework JavaScript Front-end extraordinaire !

    Au delà du fait que l'utilisation de ses ressources précédemment citées dépend du fait que l'on souhaite réaliser un site web ou un outil web ou une application web etc. je finis toujours par expliquer que j'utilise ma propre architecture JavaScript à travers toutes les différentes pages d'un site web et qu'au cas par cas, je charge les JavasSript dont j'ai besoin (parfois il est plus judicieux de charger de manière asynchrone un ckeditor sur l'unique page ou il est utile que de ce le trimbaler partout sur le site !).

    Je vais donc vous livrer à travers cet article une architecture JavaScript pas à pas, page par page. Il existe également une approche plutôt orienté composant que j'aborde ici.

    Afin de la comprendre pas à pas, j'utiliserai comme fil conducteur la réalisation d'un site vitrine. Ma façon de structurer le JavaScript client n'est pas absolue mais elle vous permettra de comprendre la logique derrière certains de mes sites dont vous trouverez les sources sur GitHub (comme pour ce blog) ou même la logique du moteur de site Node.js : NodeAtlas.


  • Bien gérer la localisation des sites en CSS3 et HTML5

    Il y a des solutions simples pour gérer avec une feuille CSS l'affichage de différentes langues. Vous vous êtes peut-être déjà confronté à un problème similaire : votre super menu s'affichant en ligne est parfait dans la langue des Vulcains avec une taille de caractère mais malheureusement ne l'ai plus avec la langue des Na'vis.

    Quand votre site sera déployé pour des localisations différentes, les feuilles CSS ne pourront alors pas être les mêmes et vous allez maintenir autant de fichiers différents que de localisation ? C'est ce que vous ferriez en faisant un très mauvais choix. Arrêtons-nous 5 minutes pour explorer une piste bien pratique pour assurer la maintenance d'une feuille CSS et de ces différentes localisations.


  • Les balises h1 multiples autorisées en HTML5

    C'est suite à plusieurs conversations m'invitant à ne pas utiliser de multiples balises h1 dans mes intégrations HTML (et plus récemment une demande « insistante » sur le fait de ne pas le faire) que je me vois forcé de marcher sur les pas de Raphaël Goetter -qui avait déjà abordé le sujet- pour expliquer pourquoi : en plus d'être tout à fait valide, cette pratique est bénéfique.

    Tout document HTML5 dispose de cloison de contenu (Sectionneur de contenu) que sont article, aside, nav et section. Ces zones de contenu peuvent chacune contenir une balise header et footer (ne cloisonnant pas elles-mêmes le contenu) et de multiple éléments de titrage (Titre en HTML) allant de h1 à h6.

    Bien que l'utilisation de plus d'une balise h1 ai pu rationnellement laisser à débattre (même si techniquement les standards ne l'interdise pas), les recommandations et même l'interdiction d'une telle pratique ne sont plus pertinentes et rationnelles à l'heure du HTML5.


  • Les types en JavaScript : pour tout savoir !

    Mais le JavaScript n'est pas typé ? Mais si, il y en a 13 ! Ah non, il y en 7... Bah il me semble qu'il y a Object, Function, Array, Math, String, Number, Boolean. Et tu fais quoi de RegExp ? Attends, Function c'est pas un type, c'est un sous type mais Null c'est un type... ? Ho là là...

    Si vous faites du jQuery à vos heures ou même pas mal de JavaScript sur vos sites web, il est temps d'apprendre tout ce qu'il y a à savoir sur le typage implicite de JavaScript, car oui : contrairement à ce que certain vous ont dit, JavaScript manipule des éléments typés, on peut même dire que le JavaScript est faiblement typé et dynamiquement typé si vous voulez tout savoir. Les fonctions (et les instances) Object, Function, Array, Date, String, Number, Boolean, RegExp, Error ou encore les objets globaux, Math et JSON : tous sont d'un seul et même type, le type Object. Pourtant String, Number et Boolean sont eux-mêmes un type à par entière en plus des deux petits spéciaux les type Null et Undefined.

    Si vous deviez retenir quelques trucs rapidement à propos du JavaScript et des types ça serait que :

    • Le JavaScript n'a que 6 types : Object, Number, String, Boolean, Null et Undefined.
    • À part le type Object : les 5 autres types sont dit des types primitifs.
    • Les types Null et Undefined sont des types spéciaux.
    • La Function n'est qu'un type Object qui peut être exécuté et instancié avec « new ».
    • Array, Date et RegExp sont des types Object instanciables (Function).
    • Math et JSON sont simplement un type Object (ne s'instancie pas avec « new »).
    • Bien que Number, String et Boolean soient des types primitifs, il existe un équivalent de type Object instanciable (Function) pour chacun d'eux (à ne pas confondre).
    Les 6 types en JavaScript
    Les 6 types en JavaScript

    Je vais dans un premier temps vous proposer la traduction d'un article de Dmitry Baranovskiy —développeur JavaScript expérimenté— qui explique très bien les types en JavaScript. Je lèverai le doute sur le fameux sixième type (Null ou Function). Et je vous fournirai des lignes de code test pour mettre en évidence ce qui a été expliqué.

    Dans cet article les propos entre [ ... ] sont les miens ainsi que ceux qui ne sont pas entre « ... ».

    Pour finir, bien que l'auteur vous encourage à lire les spécifications officielles (pour les initiés), je vous encourage pour ma part à lire JavaScript Eloquent (disponible en français ici).


  • Installer et utiliser Node.js sous Windows

    Je vous propose à travers cet article de découvrir Node.js pour le système d'exploitation Windows 7, 8 et 10. Node.js est multi-plateforme et s'exécute tout aussi bien sous Unix que sous Mac. Mais QUID de Windows ? Vous allez voir que c'est assez trivial même si certains modules dépendent de quelques logiciels externes pour compiler (python27, msvc2013). Assez rapidement donc, il vous sera possible de développer des sites web et applications web très interactives et avec une grande vélocité d'exécution le tout avec JavaScript !


  • Une alternative au Switch, c'est possible en JavaScript

    Vous connaissez tous l'instruction switch en JavaScript ; c'est une bonne alternative à la suite d'instruction if, else if, else if, else if... else dans le cas de choix multiples. Et si vous vous en débarrassiez pour quelque chose de plus simple concis ?


  • Faire des bordures en image sans la balise Table

    Beaucoup de design demande que les bordures des cadres de contenu soient des images pour avoir des bords aux motifs complexes ou faire des effets d'ombre. Bien qu'il existe des propriétés CSS3 qui gèrent cela à présent, la compatibilité sur tous les navigateurs ne sera possible que si ceci est réalisé avec du CSS standard et du HTML.


  • Comment cibler un id qui contient un point

    En CSS, tout comme avec le librairie JavaScript jQuery, il faut utiliser des sélecteurs pour cibler une balise ou un ensemble de balise :

    • on utilise le sélecteur # si l'on désire accéder à l'élément par la valeur de son attribut id ou,
    • on utilise le sélecteur . si on désire accéder à l'élément par une des valeurs de son attribut class.

    En combinant les deux sélecteurs précédent on peut sélectionner une balise par son attribut id et son attribut class.

    On peut donc cibler la balise HTML suivante :

    <div id="main" class="example"></div>
    

    avec le sélecteur CSS suivant :

    div#main.example { /* ... */ }
    

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