15 résultats trouvés pour la recherche « W3C »

  • Utiliser AngularJS en respectant les recommandations W3C et SEO

    AngularJS est un régale pour toute création d'Application Web de petite et moyenne taille. J'entends par là, des ensembles d'interfaces web ou l'utilisateur est sollicité à participer au remplissage de contenu par l'intermédiaire de champs, listes, boutons, etc.

    AngularJS

    Le principe est le suivant : sortir le contenu utile du HTML pour le ranger dans un scope JavaScript afin de le manipuler plus aisément et parsemer le HTML de référence à ce scope de contenu. L'avantage est que le contenu a sa propre vie, et n'est plus figé dans le HTML et surtout toute mise à jour de contenu dans le JavaScript entraîne sa mise à jour dans le HTML, bien pratique.

    Le revers de la médaille est que la source HTML mangée par les moteurs de recherche pour le référencement ne ressemble plus qu'à un ensemble de variables, et les balises et attributs HTML rencontrés font pâlir n'importe quel validateur W3C.

    C'est parti pour un tutoriel vous expliquant comment contenter le W3C pour pouvoir correctement implémenter vos recommandations SEO avec AngularJS.


  • NodeAtlas, le Framework JavaScript MVC(2), SEO et W3C compliant.

    NodeAtlas

    NodeAtlas est un framework JavaScript MVC(2) côté serveur vous permettant de créer des sites évolutifs, performants et conformes au W3C. C'est-à-dire qu'il permet de faire tourner des sites multilingues indexables ou de créer des maquettes HTML passant la validation W3C uniquement avec des vues mais également de créer de gros sites et apps web orientés composants et / ou orientés services en respectant les nouveaux standards avec son système de point d'ancrage.


  • Les balises h1 multiples autorisées en HTML5

    C'est suite à plusieurs conversations m'invitant à ne pas utiliser de multiples balises h1 dans mes intégrations HTML (et plus récemment une demande « insistante » sur le fait de ne pas le faire) que je me vois forcé de marcher sur les pas de Raphaël Goetter -qui avait déjà abordé le sujet- pour expliquer pourquoi : en plus d'être tout à fait valide, cette pratique est bénéfique.

    Tout document HTML5 dispose de cloison de contenu (Sectionneur de contenu) que sont article, aside, nav et section. Ces zones de contenu peuvent chacune contenir une balise header et footer (ne cloisonnant pas elles-mêmes le contenu) et de multiple éléments de titrage (Titre en HTML) allant de h1 à h6.

    Bien que l'utilisation de plus d'une balise h1 ai pu rationnellement laisser à débattre (même si techniquement les standards ne l'interdise pas), les recommandations et même l'interdiction d'une telle pratique ne sont plus pertinentes et rationnelles à l'heure du HTML5.


  • Bootstrap est une régression pour un développement Front-end de qualité

    Pourquoi je n'utilise pas Bootstrap ? Cela peut sembler une « évolution » de nos méthodes de travail front-end, mais gare au loup et attention de ne pas tomber dans un travers que le W3C tente d'enrayer au fur et à mesure des évolutions HTML et CSS.

    Commençons par le commencement. Qu'est-ce que Bootstrap ? Comme pleins d'autres « Bibliothèque » ou « Framework » CSS dans la même veine, Bootstrap est un outil permettant d'augmenter la productivité des développeurs front-end le maîtrisant, dans le but de fournir le plus rapidement possible un rendu visuel ergonomique et si possible responsive.

    Mon problème ne vient pas tant de sa finalité qui est louable, mais bel et bien de la mise en œuvre technique qui permet d'atteindre cette finalité. Pour être concis avant de développer : l'utilisation faites de Bootstrap est une régression pour un travail front-end de qualité.

    Je ne compte persuader personne, et à défaut de convaincre, je vais au moins vous expliquer mon point de vue.


  • Utiliser la balise Link dans la balise Body

    Par convention, on a toujours utilisé la balise <link> dans la balise <head>. Cette balise est utilisée —entre autre— pour permettre aux navigateurs de lire et d'appliquer les instructions CSS depuis une feuille CSS.

    Par convention dis-je ? Pas réellement car :

    • Côté W3C, la balise <link> telle qu'elle a été créée n'est valide W3C en HTML4, xHTML ou HTML5 uniquement si elle est appelé dans la balise <head>.
    • Côté technique, une propriété CSS est appliquée sur un élément du DOM quand il est rendu sur la page uniquement si elle a été interprétée avant de rencontrer cet élément. Si une feuille CSS est lu en pied de page donc, c'est-à-dire après le rendu d'un élément, il y aura un phénomène de FOUC très dérangeant si la page est demandée depuis un réseau bas débit.

    Exemple : Ainsi le code suivant est valide :

    <head>
      ...
      <link rel="stylesheet" type="text/css" href="example/css.css" media="screen" />
      ...
    </head>
    

    mais

    Exemple : le code suivant est invalide :

    <body>
      ...
      <link rel="stylesheet" type="text/css" href="example/css.css" media="screen" />
      ...
    </body>
    

    Cependant, puisque l'affichage du contenu de la page est mis en attente tant que les fichiers href des <link> ne sont pas téléchargés et analysés par le navigateur, cela participe à ralentir l'affichage du contenu des pages aux yeux de l'utilisateur ce qui mène parfois les outils comme PageSpeed ou GTmetrix a demander de placer les feuilles CSS très lourdes après l'analyse du DOM.

    Mais puisque cela n'est pas valide, comment faire pour placer la balise <link> en pied de balise <body> ?


  • Icon ou la balise sémantique HTML qui n'existait pas !

    Je l'ai encore croisée au détour d'un code ! J'y ai prêté attention pour la première fois sur le Framework CSS Semantic-UI car j'ai vu dans la source qu'il était impossible d'afficher une icône avec ce Framework sans utiliser la balise qui n'existe pas : la balise Icon !

    Je vous la présente sans plus de suspense avec cet exemple : <i class="icon settings"></i>. Son rendu est une icône, représentant par exemple ici de quoi modifier les paramètres. Il n'y a pas de doute, l'intention première est d'afficher une icône, non pas avec la balise <img> estimée réservée à de l'affichage de contenu pure (au contraire d'une décoration), mais en remplacement de <span> qui, lui, est trop neutre.

    Balise i en HTML4
    La balise <i> en HTML4, miriamposner.com

    Quoi de mieux qu'une balise qui est inline, courte, dont la seule lettre représente le début du mot « icon » et qui passe même la validation W3C ? Je vous présente la balise <i> qui a vu le jour grâce à HTML4 et signifiait « le contenu affiché est italique » et qui tenterait de faire son coming-back en tant que nouvelle icône derrière le dos du W3C !

    Mais ça me pause un problème. Parlons en de cette fausse-vrai balise !


  • Utilisation optimisée de Framework CSS comme Bootstrap avec Less

    J'ai déjà abordé le sujet des Frameworks CSS qui surchargeaient le DOM HTML inutilement et allait à l'encontre de la philosophie du W3C (séparation du fond et de la forme) dans un précédent article où j'expliquais pourquoi, par exemple, Bootstrap est une régression pour un développement Front-end de qualité.

    J'ai également expliqué comment reproduire l'équivalent de fonctionnalités utiles dans un Framework en respectant l'approche CSS-driven dans Grille CSS Responsive et Sémantique sans Framework.

    Je vais ici vous démontrer que cette méthode CSS-driven peut non seulement être grandement simplifiée avec l'utilisation des préprocesseurs CSS comme Less, Sass ou Stylus, mais qu'elle permet également d'exploiter les Frameworks tel que Bootstrap de manière propre et conforme à la philosophie de séparation de la sémantique et du design.


  • Éviter le détournement de clic par iFrame de votre site

    J'en vois déjà venir d'assez loin : « les iFrames c'est old school ». Ça me rappel l'époque ou les Frames « c'était old school ». Pour les gars du fond, une iFrame permet d'insérer dans la page courante d'un site le contenu complet d'une autre page. Et si vous ne vous y intéressez plus car vous n'en voyez pas l'intérêt, sachez que d'autres peuvent le voir.

    Effectivement, vous n'êtes pas à l'abri de retrouver une page de votre site dans l'iFrame d'un autre site. À partir de là, pas mal de scénarios sont envisageables ; du moins dérangeant comme la solicitiation de votre serveur à chaque fois que la page du site embarquant votre page est réclamée aux plus génants comme le détournement de clic (clickjacking).


  • Mais pourquoi devrais-je abandonner jQuery pour Angular, React... ou Vue.js !?

    J'ai longtemps utilisé jQuery. Puis Vanilla JS comme on appelle si élégamment le JavaScript implémenté nativement. Je surveillais d'un œil les Knockout et compagnie sans jamais réellement m'y investir. Ce fut également le cas avec AngularJS, tellement super-héroïque et sur toutes les lèvres ! Du MVVM paraissait t-il. Un nom barbare à se retaper alors que je terminais tout juste de comprendre en profondeur les tenants et aboutissants d'une architecture MVC(2). Non merci.

    jQuery vs. Vue
    jQuery vs. Vue

    Autant vous le dire : pour ma part je ne jurais que par la séparation des rôles. Je ne voulais pas retourner à du HTML mélangeant de la structure et du comportement, avec des attributs invalides W3C et un code source à chialer. Ça m'a bien conforté dans l'idée que jQuery ou Vanilla JS restaient des valeurs sûr !

    Mais voilà. J'ai fini par investiguer ce AngularJS, à force de le voir passer. Il s'est avéré que les principaux défauts que je lui trouvais pouvaient se régler avec un peu de rigueur. OK ? Mais à quoi bon tant d'efforts pour utiliser l'outil à la mode, là où jQuery à toujours fait le job ?

    Même si j'ai partiellement compris l'utilité d'un tel changement grâce à mes études de surface sur Aurelia, React puis Angular, il semble que j'ai trouvé la réponse définitive à la bonne raison d'abandonner jQuery grâce à l'étude de Vue.js. Et en une simple après midi de lecture ! Je ne jure plus que par cette bibliothèque à présent !

    Pour faire simple : jQuery pilote par le DOM, là où Vue pilote par les données ! Et ça, ça change tout.


  • Vue + NodeAtlas : de l'art du SSR ou Rendu Côte Serveur avec JavaScript

    Nous allons voir dans cet article comment faire du rendu côté serveur ou SSR (Server-Side Render) avec le framework JavaScript client MVVM (Modèle-Vue-Vue Modèle) Vue couplé au framework JavaScript serveur MVC(2) (Model View Controller) NodeAtlas !

    Alors ce titre parle peut-être aux habitués des architectures clientes MVVM qui ont des difficultés avec le référencement et semble peut-être barbare pour d'autres. Lançons-nous dans une petite explication histoire de rendre cet article intéressant également pour les néophytes : comprenons le problème et trouvons la solution à travers cette page.

    Quel est le problème traité dans cet article ?

    Le problème avec les frameworks MVVM client est qu'ils construisent le site à partir de rien. Fouillez la source du code de la réponse HTTP de la page courante, celle lue par les indexeurs de contenus ou les navigateurs sans JavaScript ; il n'y a rien. Aussi, si je crée une liste d'actions futures pour la roadmap de ma super App, et que je souhaite pouvoir manipuler aisément (ajout et retrait) ses éléments grâce à un coupleur de données vue-modèle ; le revers de la médaille sera que les informations utilisées pour cette construction proviendront de fichiers JavaScript ou morceaux de HTML qui ne veulent rien dire pour les indexeurs où même les validateurs de page. Vos sites sont donc souvent « SEO merdiques » et « W3C bancales ».

    Quelle solution ?

    Le SSR ou Rendu Côté Serveur. Voyons ça au travers de cette page exemple avec Vue et NodeAtlas !


  • Utiliser les Media Queries CSS3 dans l'attribut style

    Autant vous annoncer la mauvaise nouvelle tout de suite, il n'est pas possible d'utiliser les Media Queries dans l'attribut des balises HTML style. Ainsi le code suivant ne fonctionnera pas...

    <div>
        <img 
            src="image/que/je/veux/decaller/seulement/quand/elle/flotte.png" 
            style="@media(min-width: 768px){float:left margin:-4px 16px 8px -24px;}">
        <p>J'aimerai faire flotter à gauche l'image ci-dessus uniquement sur 
        les grands écrans. Comme les valeurs de `margin` sont ajustées uniquement 
        aux propriétés de cette image (-4px 16px 8px -24px), il n'existe pas de
        classe  HTML-driven comme créer un `.float-left` (à l'avance) qui répondrait 
        exactement à mon besoin.</p>
    </div>
    

    ...c'est comme ça !

    Dans ce cas, comment faire pour gérer des propriétés CSS ponctuellement en utilisant les Media Queries ? Cela est très utile pour le remplissage de contenu pour ajuster des images ou encore manager des background-image.

    La solution n'est pas l'attribut style des balises HTML mais la balise <style> elle même !


  • Développer en JavaScript côté serveur avec Node.js

    N'avez-vous jamais rêvé de manipuler votre DOM aussi facilement côté serveur que dans votre navigateur ? N'avez-vous jamais cherché un équivalent à Vanilla JS côté serveur dans l'espoir de manipuler aisément les fragments de DOM de vos moteurs de template avant envoie côté client ? Êtes-vous tombé amoureux de JavaScript ? Ce langage étrange qui semble plat, mais qui est finalement objet, sans type mais finalement typé, procédurale mais finalement événementiel, mono-thread mais finalement multi-traitement asynchrone...

    Et si vous réalisiez vos développements Back-end en JavaScript ? C'est possible avec Node.js !


  • Grille CSS Responsive et Sémantique sans Framework

    Il y a quelque temps, j'expliquais qu'il était difficile d'obtenir un travail Front-end de qualité avec des Frameworks CSS HTML-Driven. Le gros reproche que je fais à ces Frameworks est de prendre le contre pied de l'approche du W3C qui met tout en œuvre avec HTML5 et CSS3 pour complètement effacer toute trace de design dans l'architecture HTML et la rendre structurellement sémantique.

    Un Framework CSS c'est vraiment pratique pour ne pas trop se mouiller et gagner du temps parait-il. On me dit d'ailleurs souvent que les systèmes de Grid c'est bien pratique. Ce que j'en pense pour ma part c'est qu'on ne peut jamais sortir des chemins battu d'un Framework lourd à moins de parfaitement connaître les mécanismes de celui-ci pour le contrer. Et dès lors qu'on est assez aguerrit pour comprendre des mécanismes menant à des « abstractions qui fuient », on est alors assez aguerrit pour s'en passer.

    Sachez que l'on peut facilement se passer de Framework pour gérer une grille Responsive Web Design propre et maintenable en évitant ainsi d'horribles codes comme <div class="header col-xs-12 col-sm-6 col-sm-push-6 text-right-sm bg-info"> tout en restant maître de ce que l'on fait. Cette page CodePen en est un exemple.

    Suivez-moi, je vais vous montrer !


  • Comment faire du routage strict avec Vue Router et Vue Server Renderer ?

    L'URL www.example.com/foo n'est pas la même URL que www.example.com/foo/. Or, si cela n'est pas gênant dans une application monopage (plus loin SPA pour « Single Page Application »), cela devient critique pour de l'optimisation de moteur de recherche (plus loin SEO pour « Search Engine Optimization ») dès lors que le contenu est généré côté serveur.

    Côté serveur, les routeurs comme celui d'Express possèdent un mode strict pour que l'adresse /foo ne soit pas la même que l'adresse /foo/. Mais qu'en est t-il de Vue Router ? Et surtout, comment faire concorder le routage client et le routage serveur pour que l'hydratation (la prise en main côté client d'un rendu côté serveur) concorde ?

    Je vous le donne en mille : de base, là où Express en mode strict vous renverra une page 200 pour /foo/ et une page 404 pour /foo, Vue Router lui, en mode strict, vous renverra exactement l'inverse !

    Comment dans ce cas utiliser Vue Router et Vue Server Renderer pour du routage strict dont les moteurs de recherche sont si friand pour une SEO à toute épreuve ? La réponse à la fin !

    Cependant, afin que ce billet soit utile également pour ceux n'ayant pas (encore) ce problème et qui souhaitent découvrir par l'exemple comment fonctionne du SSR avec Vue (et de facto, qu'est-ce que c'est réellement), je vais élaborer un code pour vous accompagner dans cette compréhension, pas à pas. Seulement ensuite nous mettrons en évidence notre problème avant de le résoudre.


  • Séparations des rôles du HTML / CSS / JavaScript et mise en application

    Cet article fait office de conventions d'architecture d'un site web orienté composant pour la partie cliente, peu importe la technologie d'implémentation finale, de manière à ce que le code soit valide, performant et maintenable par des développeurs front-end, des développeurs back-end ainsi que des pousseurs de contenu. Ces techniques étant en constantes évolution, et les problématiques évoluant au fur et à mesure de mes itérations créatives, cet article est voué à se compléter et changer.

    Contenu, apparence et comportement
    Contenu, apparence et comportement

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