NodeAtlas est une application multi-os écrite en Node.js qui va vous permettre de créer, modifier et maintenir tout un ensemble de maquette HTML. Ces maquettes HTML pourront ensuite être validées par le client, et ré-utilisées totalement ou en partie par les développeurs Back-end quelque soit leurs technologies. Ces maquettes HTML pourront également servir de site stand-alone fonctionnant sans serveur ou avec un simple serveur HTTP pour créer des documentations JSDoc ou autre comme pour GitHub par exemple. C'est ce que nous allons voir dans cet article.
Mais NodeAtlas permet également de faire tourner des sites web complet, performant et rapide tel que le site sur lequel vous être entrain de lire cet article.
Je viens de (re)terminer la lecture du Guide CSS Fr et j'ai eu envie d'apporter quelques modifications et ajouts à ces très bons conseils. Cet article va donc en quelque sorte constituer mes conventions en matière de création et maintenance HTML et CSS. Elles sont donc identiques à ce qui est écrit sur Guide CSS Fr à cet article prêt !
N'ayant rien à ajouter aux parties autres que « 4. Convention de nommage », je passe directement à mes propres conventions de nommage en vous sensibilisant à l'anatomie d'une page HTML.
Je finirai néanmoins par pointer du doigt une erreur, sinon la seule, en ce qui concerne la totale inutilité du préfixe .js- destiné à séparer le visuel du fonctionnel.
Note : Tous les exemples d'inclusion de fragment HTML sont tirés du framework Node.js NodeAtlas mais c'est juste à titre illustratif, c'est la même chose avec vos frameworks préférés.
Cet article fait office de conventions d'architecture d'un site web orienté composant pour la partie cliente, peu importe la technologie d'implémentation finale, de manière à ce que le code soit valide, performant et maintenable par des développeurs front-end, des développeurs back-end ainsi que des pousseurs de contenu. Ces techniques étant en constantes évolution, et les problématiques évoluant au fur et à mesure de mes itérations créatives, cet article est voué à se compléter et changer.
Je l'ai encore croisée au détour d'un code ! J'y ai prêté attention pour la première fois sur le Framework CSS Semantic-UI car j'ai vu dans la source qu'il était impossible d'afficher une icône avec ce Framework sans utiliser la balise qui n'existe pas : la balise Icon !
Je vous la présente sans plus de suspense avec cet exemple : <i class="icon settings"></i>. Son rendu est une icône, représentant par exemple ici de quoi modifier les paramètres. Il n'y a pas de doute, l'intention première est d'afficher une icône, non pas avec la balise <img> estimée réservée à de l'affichage de contenu pure (au contraire d'une décoration), mais en remplacement de <span> qui, lui, est trop neutre.
Quoi de mieux qu'une balise qui est inline, courte, dont la seule lettre représente le début du mot « icon » et qui passe même la validation W3C ? Je vous présente la balise <i> qui a vu le jour grâce à HTML4 et signifiait « le contenu affiché est italique » et qui tenterait de faire son coming-back en tant que nouvelle icône derrière le dos du W3C !
Mais ça me pause un problème. Parlons en de cette fausse-vrai balise !
Dans de nombreux cas, on utilise des balises superflus pour gérer ;
la largeur total d'une grille avec les éléments externes et
l'espacement entre chaque balise avec l'élément interne. Parfois même,
pour appliquer de la couleur de fond, on utilise une troisième balise !
C'est notamment le cas avec le framework CSS Bootstrap qui se fait vieux. Si vous vous ventez de ne plus suporter IE8 parce qu’il à fait son temps, alors il est également temps d'arrêter d'utiliser des balises inutiles !
Voici un exemple d'ancienne pratique et son équivalence avec la propriété CSS3 calc().
Les tests de régression d'interfaces sont souvent les plus difficiles à repérer car ils nécessitent l'intervention de l'œil humain et ne peuvent pas être automatisés par des tests unitaires aussi simplement que du code logique. Il faut donc refaire une passe de vérification sur les pages où la CSS et la structure HTML ont changé pour voir si tout est en ordre et cela, dans toutes les tailles d'affichage.
Autant vous dire qu'en fonction du budget, ce travail n'est pas fait à chaque fois que le code est acté (« commit ») dans Git et qu'il arrive qu'une « régression visuelle » soit repérée quelques temps après qu'elle se soit glissée dans le projet.
Plus sournois, si la vérification n'est pas faites à tous les coups, les regressions visuelles qui n'empèchent pas la navigation mettent souvent longtemps à être signalées car personne n'est « bloqué ».
Nous allons donc voir à travers un exemple comment réparer rapidement une régression HTML ou CSS avec l'utilisation du système de version Git et la plateforme GitHub.
Note : si vous avez la moindre question à propos de la procédure exposée ci-après, n'hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaitez revenir avec un peu plus de bagage à propos du fonctionnement de Git, n'hésitez pas à lire cet article pour enfin comprendre Git et GitHub !
NodeAtlas est un framework JavaScript MVC(2) côté serveur vous permettant de créer des sites évolutifs, performants et conformes au W3C. C'est-à-dire qu'il permet de faire tourner des sites multilingues indexables ou de créer des maquettes HTML passant la validation W3C uniquement avec des vues mais également de créer de gros sites et apps web orientés composants et / ou orientés services en respectant les nouveaux standards avec son système de point d'ancrage.
Dans cet article, nous allons découvrir la légende de Hyne à travers le cours d'un professeur de la Balamb Garden University de FINAL FANTASY VIII. Nous allons nous appuyer sur le contenu des pages 477 et 478 du livre FINAL FANTASY X ULTIMANIA OMEGA.
Chaque phrase est accompagnée de la version japonaise qui a servi de support à la traduction proposée. Cliquez sur le texte japonais pourrejoindre l'explicationde traduction. Ainsi, si vous n'êtes pas certain du sens d'une traduction, vous pourrez obtenir plus de précisions. N'hésitez pas à partager vos rectifications éventuelles en commentaire.
Série FINAL FANTASY ZET && TIC
Cet article est rédigé en utilisant des outils d'intelligence artificiel, il ne va pas contenir de technique, juste le résultat de ces outils. Pour en savoir plus sur la manière de produire ce contenu, vous pouvez vous rendre sur le billet explicatif.
Dans cet article, nous allons détailler les évènements s'étant déroulés avant le début de FINAL FANTASY X. Nous allons nous appuyer sur le contenu des pages 80 et 81 du livre FINAL FANTASY X ULTIMANIA OMEGA.
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C'est suite à plusieurs conversations m'invitant à ne pas utiliser de multiples balises h1 dans mes intégrations HTML (et plus récemment une demande « insistante » sur le fait de ne pas le faire) que je me vois forcé de marcher sur les pas de Raphaël Goetter -qui avait déjà abordé le sujet- pour expliquer pourquoi : en plus d'être tout à fait valide, cette pratique est bénéfique.
Tout document HTML5 dispose de cloison de contenu (Sectionneur de contenu) que sont article, aside, nav et section. Ces zones de contenu peuvent chacune contenir une balise header et footer (ne cloisonnant pas elles-mêmes le contenu) et de multiple éléments de titrage (Titre en HTML) allant de h1 à h6.
Bien que l'utilisation de plus d'une balise h1 ai pu rationnellement laisser à débattre (même si techniquement les standards ne l'interdise pas), les recommandations et même l'interdiction d'une telle pratique ne sont plus pertinentes et rationnelles à l'heure du HTML5.
Dans cet article, nous allons découvrir combien de version de Zanarkand il existe dans FINAL FANTASY X. Nous allons nous appuyer sur le contenu des pages 84 et 85 du livre FINAL FANTASY X ULTIMANIA OMEGA.
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Dans cet article, nous allons découvrir comment l'éclat des Lunes se répercutent sur les Cristaux dans FINAL FANTASY IX. Nous allons nous appuyer sur le contenu de la page 43 du livre FINAL FANTASY IX ULTIMANIA OMEGA.
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Dans cet article, nous allons découvrir les différentes créatures et être issues des Cristaux et de sa Brume dans FINAL FANTASY IX. Nous allons nous appuyer sur le contenu de la page 42 du livre FINAL FANTASY IX ULTIMANIA OMEGA.
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Dans cet article, nous allons découvrir la différence entre les mondes de Héra et Terra dans FINAL FANTASY IX. Nous allons nous appuyer sur le contenu de la page 40 du livre FINAL FANTASY IX ULTIMANIA OMEGA.
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Dans cet article, nous allons découvrir qui est Sin dans FINAL FANTASY X. Nous allons nous appuyer sur le contenu des pages 82 et 83 du livre FINAL FANTASY X ULTIMANIA OMEGA.
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La balise HTML script permet de définir quand le code JavaScript dans votre page est exécuté. Les attributs HTML5 async et defer sont à présent supportés par Firefox, Chrome, Safari et Internet Explorer 10+ (sinon ils sont ignorés) et permettent de modifier le comportement de chargement des scripts. Voici de courtes explications sur les différences de chaque appel.
Par convention, on a toujours utilisé la balise <link> dans la balise <head>. Cette balise est utilisée —entre autre— pour permettre aux navigateurs de lire et d'appliquer les instructions CSS depuis une feuille CSS.
Par convention dis-je ? Pas réellement car :
Côté W3C, la balise <link> telle qu'elle a été créée n'est valide W3C en HTML4, xHTML ou HTML5 uniquement si elle est appelé dans la balise <head>.
Côté technique, une propriété CSS est appliquée sur un élément du DOM quand il est rendu sur la page uniquement si elle a été interprétée avant de rencontrer cet élément. Si une feuille CSS est lu en pied de page donc, c'est-à-dire après le rendu d'un élément, il y aura un phénomène de FOUC très dérangeant si la page est demandée depuis un réseau bas débit.
Cependant, puisque l'affichage du contenu de la page est mis en attente tant que les fichiers href des <link> ne sont pas téléchargés et analysés par le navigateur, cela participe à ralentir l'affichage du contenu des pages aux yeux de l'utilisateur ce qui mène parfois les outils comme PageSpeed ou GTmetrix a demander de placer les feuilles CSS très lourdes après l'analyse du DOM.
Mais puisque cela n'est pas valide, comment faire pour placer la balise <link> en pied de balise <body> ?
Dans cet article, nous allons expliquer le concept de Priant dans FINAL FANTASY X. Nous allons nous appuyer sur le contenu de la page 86 du livre FINAL FANTASY X ULTIMANIA OMEGA.
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Dans cet article, nous allons découvrir le lien entre l'Arbre Ifa et le Cycle des âmes dans FINAL FANTASY IX. Nous allons nous appuyer sur le contenu de la page 41 du livre FINAL FANTASY IX ULTIMANIA OMEGA.
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Depuis que le Responsive Web Design a commencé son invasion, beaucoup de site ne possède plus qu'une unique version qui gère :
un affichage complet pour écrans larges de type écran d'ordinateur (Desktop) et
un affichage léger et partiellement complet pour les écrans de type mobiles/tablettes.
Cela revient souvent à inhiber des fonctionnements jugés peu utiles par les développeurs ou ergonomiquement trop instables pour être présentés sur les petits appareils et empêche alors :
d'afficher la version Desktop sur les mobiles/tablettes ou
d'afficher la version Desktop dans une fenêtre de navigateur rétréci.
Afin d'apporter un cadre à l'équipe et parce que créer nos propres UI Kit n'est pas à l'ordre du jour, nous avons pris le partie d'utiliser Bootstrap 3 non sans chagrin.
L'idée finale derrière cette utilisation est de pouvoir créer facilement des composants et de pouvoir les déplacer n'importe ou dans un layout ou dans un composant lui-même.
Les remarques n'ont pas tardées à tomber sur la manière d'intégrer tout cela :
« Ça ne sert à rien de mettre un “.col-xs-12” ici, ça revient au même de ne rien mettre »,
« Pourquoi il n'y a pas un seul “.container” pour gérer toute la page comme dans la source de cette page »,
« Il ne faut pas mettre les “.container” dans les composants mais à l'extérieur sinon en mettant les composants dans des petites colonnes on va dépasser la largeur de la grille. Regarde la source de cette page »,
« T'as pas besoin de “.container” pour utiliser des “.row” », etc.
Le constat est clair, l'utilisation de Bootstrap pour réaliser des pages en imbriquant des composants est une chose, mais le faire correctement en est une autre !
Suivez le guide pour comprendre les guidelines que doivent suivre tout composant pour être « Drag and Droppable » n'importe où !
On me demande souvent quelle est la structure JavaScript que j'utilise pour développer mes sites web. C'est une question à laquelle je ne sais jamais si un simple « jQuery » suffit ou si l'on s'attend à m'entendre répondre « Knockout », « AngularJS », « Vue.js », « React » ou encore, « RequireJS » ou je ne sais quelle autre composant/librairie/framework JavaScript Front-end extraordinaire !
Au delà du fait que l'utilisation de ses ressources précédemment citées dépend du fait que l'on souhaite réaliser un site web ou un outil web ou une application web etc. je finis toujours par expliquer que j'utilise ma propre architecture JavaScript à travers toutes les différentes pages d'un site web et qu'au cas par cas, je charge les JavasSript dont j'ai besoin (parfois il est plus judicieux de charger de manière asynchrone un ckeditor sur l'unique page ou il est utile que de ce le trimbaler partout sur le site !).
Afin de la comprendre pas à pas, j'utiliserai comme fil conducteur la réalisation d'un site vitrine. Ma façon de structurer le JavaScript client n'est pas absolue mais elle vous permettra de comprendre la logique derrière certains de mes sites dont vous trouverez les sources sur GitHub (comme pour ce blog) ou même la logique du moteur de site Node.js : NodeAtlas.
Quand une page web est chargée, les éléments externes à celle-ci sont appelés tout au long de son chargement pour permettre au navigateur d'afficher le résultat visuel final. Cela prend du temps, et certains chargements bloquent le rendu alors que d'autres non. D'autres encore sont ignorés tant qu'une action de la part de l'utilisateur n'a pas été effectuée.
Pour bien comprendre et manager ses chargements de page, je vous propose de comprendre une liste de comportement au chargement des ressources pour Chrome, Safari, Firefox, IE et Opera.
AngularJS est un régale pour toute création d'Application Web de petite et moyenne taille. J'entends par là, des ensembles d'interfaces web ou l'utilisateur est sollicité à participer au remplissage de contenu par l'intermédiaire de champs, listes, boutons, etc.
Le principe est le suivant : sortir le contenu utile du HTML pour le ranger dans un scope JavaScript afin de le manipuler plus aisément et parsemer le HTML de référence à ce scope de contenu. L'avantage est que le contenu a sa propre vie, et n'est plus figé dans le HTML et surtout toute mise à jour de contenu dans le JavaScript entraîne sa mise à jour dans le HTML, bien pratique.
Le revers de la médaille est que la source HTML mangée par les moteurs de recherche pour le référencement ne ressemble plus qu'à un ensemble de variables, et les balises et attributs HTML rencontrés font pâlir n'importe quel validateur W3C.
C'est parti pour un tutoriel vous expliquant comment contenter le W3C pour pouvoir correctement implémenter vos recommandations SEO avec AngularJS.
Nous allons voir dans cet article comment faire du rendu côté serveur ou SSR (Server-Side Render) avec le framework JavaScript client MVVM (Modèle-Vue-Vue Modèle)Vue couplé au framework JavaScript serveur MVC(2) (Model View Controller)NodeAtlas !
Alors ce titre parle peut-être aux habitués des architectures clientes MVVM qui ont des difficultés avec le référencement et semble peut-être barbare pour d'autres. Lançons-nous dans une petite explication histoire de rendre cet article intéressant également pour les néophytes : comprenons le problème et trouvons la solution à travers cette page.
Quel est le problème traité dans cet article ?
Le problème avec les frameworks MVVM client est qu'ils construisent le site à partir de rien. Fouillez la source du code de la réponse HTTP de la page courante, celle lue par les indexeurs de contenus ou les navigateurs sans JavaScript ; il n'y a rien. Aussi, si je crée une liste d'actions futures pour la roadmap de ma super App, et que je souhaite pouvoir manipuler aisément (ajout et retrait) ses éléments grâce à un coupleur de données vue-modèle ; le revers de la médaille sera que les informations utilisées pour cette construction proviendront de fichiers JavaScript ou morceaux de HTML qui ne veulent rien dire pour les indexeurs où même les validateurs de page. Vos sites sont donc souvent « SEO merdiques » et « W3C bancales ».
Quelle solution ?
Le SSR ou Rendu Côté Serveur. Voyons ça au travers de cette page exemple avec Vue et NodeAtlas !
Pourquoi je n'utilise pas Bootstrap ? Cela peut sembler une « évolution » de nos méthodes de travail front-end, mais gare au loup et attention de ne pas tomber dans un travers que le W3C tente d'enrayer au fur et à mesure des évolutions HTML et CSS.
Commençons par le commencement. Qu'est-ce que Bootstrap ? Comme pleins d'autres « Bibliothèque » ou « Framework » CSS dans la même veine, Bootstrap est un outil permettant d'augmenter la productivité des développeurs front-end le maîtrisant, dans le but de fournir le plus rapidement possible un rendu visuel ergonomique et si possible responsive.
Mon problème ne vient pas tant de sa finalité qui est louable, mais bel et bien de la mise en œuvre technique qui permet d'atteindre cette finalité. Pour être concis avant de développer : l'utilisation faites de Bootstrap est une régression pour un travail front-end de qualité.
Je ne compte persuader personne, et à défaut de convaincre, je vais au moins vous expliquer mon point de vue.
Il y a des solutions simples pour gérer avec une feuille CSS l'affichage de différentes langues. Vous vous êtes peut-être déjà confronté à un problème similaire : votre super menu s'affichant en ligne est parfait dans la langue des Vulcains avec une taille de caractère mais malheureusement ne l'ai plus avec la langue des Na'vis.
Quand votre site sera déployé pour des localisations différentes, les feuilles CSS ne pourront alors pas être les mêmes et vous allez maintenir autant de fichiers différents que de localisation ? C'est ce que vous ferriez en faisant un très mauvais choix. Arrêtons-nous 5 minutes pour explorer une piste bien pratique pour assurer la maintenance d'une feuille CSS et de ces différentes localisations.
Une chose qui me gène avec la $(document).ready() de la librairie jQuery, c'est que c'est une magnifique porte ouverte aux mauvaises pratiques JavaScript. Elle empèche les développeurs web en herbe de se pauser les bonnes questions et pire encore, comme j'ai pu le constater récemment, aux développeurs à priori chevronnés d'en faire de même...
Oui, le $(document).ready()peut être utilisé plus d'une fois dans un ensemble de fichier et oui, il peut être placé n'importe où dans une page HTML mais non, ce n'est absolument pas vous rendre service que de faire cela ! Ce n'est pas parce que l'on peut, que l'on doit.
Mettre ces déclarations un peu partout rend plus difficile la relecture et le debug du code en empêchant de savoir qui s'exécute avant qui sans regarder l'ordre d'appel des fichiers. Effectivement, si cela semble simple et pratique quand 3 fichiers se battent en duel, cela peut rapidement devenir complexe. De plus, si une exception est levé dans l'un des $(document).ready(), aucun des autres n’exécutera plus rien du tout. Pour finir, le code est ralenti lors de l'appel de plusieurs $(document).ready() contre un seul, ou contre aucun d'ailleurs.
Autant vous annoncer la mauvaise nouvelle tout de suite, il n'est pas possible d'utiliser les Media Queries dans l'attribut des balises HTML style. Ainsi le code suivant ne fonctionnera pas...
<div>
<img
src="image/que/je/veux/decaller/seulement/quand/elle/flotte.png"
style="@media(min-width: 768px){float:left margin:-4px 16px 8px -24px;}">
<p>J'aimerai faire flotter à gauche l'image ci-dessus uniquement sur
les grands écrans. Comme les valeurs de `margin` sont ajustées uniquement
aux propriétés de cette image (-4px 16px 8px -24px), il n'existe pas de
classe HTML-driven comme créer un `.float-left` (à l'avance) qui répondrait
exactement à mon besoin.</p>
</div>
...c'est comme ça !
Dans ce cas, comment faire pour gérer des propriétés CSS ponctuellement en utilisant les Media Queries ? Cela est très utile pour le remplissage de contenu pour ajuster des images ou encore manager des background-image.
La solution n'est pas l'attribut style des balises HTML mais la balise <style> elle même !
Je vous propose de créer vos propres sites Node.js armés pour un rendu de qualité côté client et avec très peu de JavaScript. Vous pourrez ensuite, petit à petit et à votre rythme, vous plonger dans la partie Back-end JavaScript offerte par Node.js. Tout ceci est possible grâce au module npm (node.js package manager) NodeAtlas.
NodeAtlas est un Framework JavaScript côté serveur orienté Front-end, c'est-à-dire qu'il permet de faire tourner des sites multilingues complets uniquement avec les parties Vue et Route d'activées le reste étant fait par le framework. Bien évidemment, en activant la partie Contrôleur et Modèle vous prendrez la main sur le JavaScript serveur et vous pourrez créer de grands sites de qualités avec tout ce que l'on est en droit d'attendre : compte utilisateur, envoi de message, chat en direct... ou de solides applications web couplées à des Frameworks Javascript Frontaux comme Vue ou même simplement du code maison ! Mais commençons par le commencement.
J'ai déjà abordé le sujet des Frameworks CSS qui surchargeaient le DOM HTML inutilement et allait à l'encontre de la philosophie du W3C (séparation du fond et de la forme) dans un précédent article où j'expliquais pourquoi, par exemple, Bootstrap est une régression pour un développement Front-end de qualité.
Je vais ici vous démontrer que cette méthode CSS-driven peut non seulement être grandement simplifiée avec l'utilisation des préprocesseurs CSS comme Less, Sass ou Stylus, mais qu'elle permet également d'exploiter les Frameworks tel que Bootstrap de manière propre et conforme à la philosophie de séparation de la sémantique et du design.
On me dit souvent que je n'aime pas Bootstrap, et pour cause. Je pense que c'est une regression pour un travail front-end de qualité. En réalité, ce n'est pas le framework le fautif mais la façon dont il est utilisé. Les exemples de mauvaises utilisations sont légions sur le Net et les mauvaises intégrations HTML courent les rues.
Suis-je donc entrain de dire qu'il y a une bonne et une mauvaise façon d'utiliser Bootstrap ? C'est exactement ce que je suis entrain de dire, et je vais vous expliquer à travers ce billet le cheminement qui va vous conduire à :
séparer le fond et la forme, pour un gain de lisibilité et de propreté,
inclure et générer le strict minimum pour un gain de performance, avec un exemple d'optimisation de CSS 30 fois plus légères !
Non, je suis sérieux, ce billet n'est pas une blague. C'est cadeau, et c'est pour vous.
L'URL www.example.com/foon'est pas la même URL que www.example.com/foo/. Or, si cela n'est pas gênant dans une application monopage (plus loin SPA pour « Single Page Application »), cela devient critique pour de l'optimisation de moteur de recherche (plus loin SEO pour « Search Engine Optimization ») dès lors que le contenu est généré côté serveur.
Côté serveur, les routeurs comme celui d'Express possèdent un mode strict pour que l'adresse /foo ne soit pas la même que l'adresse /foo/. Mais qu'en est t-il de Vue Router ? Et surtout, comment faire concorder le routage client et le routage serveur pour que l'hydratation (la prise en main côté client d'un rendu côté serveur) concorde ?
Cependant, afin que ce billet soit utile également pour ceux n'ayant pas (encore) ce problème et qui souhaitent découvrir par l'exemple comment fonctionne du SSR avec Vue (et de facto, qu'est-ce que c'est réellement), je vais élaborer un code pour vous accompagner dans cette compréhension, pas à pas. Seulement ensuite nous mettrons en évidence notre problème avant de le résoudre.
Voilà les petites bases qu'il faut rapidement se mettre en tête à propos de la différence entre les marges externes ou margins et marges internes ou paddings :
Les margins d'un élément HTML se superposent avec les margins de leur voisin, avec les margins de leur parents, avec les margins des enfants des voisins, etc. Puisqu'elles se trouvent à l'extérieur des borders, elles ne sont pas affectées par les backgrounds.
Les paddings d'un élément HTML s'additionnent ou se cumulent avec les paddings de leur voisins, avec les paddings de leur parents, avec les paddings des enfants des voisins etc. Puisqu'elles se trouvent à l'intérieur de border, elles sont affectées par les backgrounds.
Deux trois autres chose rapide sont à savoir : comme le fait qu'un élément inline ne gère pas les paddings ou qu'un margin négatif déplace les éléments contrairement au padding négatif qui ne fait rien, etc.
Mais saviez-vous que : Si les éléments deviennent flottants en continuant de prendre toute la largeur... les marges externes se comportent comme les marges internes !
Si vous êtes développeur web, vous devez savoir que pour que l'utilisateur final puisse afficher une page web sur son navigateur via le protocole HTTP, il faut deux choses : un code client, et un code serveur :
Dans son plus simple appareil, le code serveur est délivré par un serveur web comme Apache, nginx ou encore IIS à partir d'un fichier. Dans de nombreux cas, ce n'est pas à partir d'un fichier HTML, mais à partir du résultat créé en analysant du code serveur dans des fichiers PHP, .NET, Python, Ruby, etc. qu'est généré le rendu HTML.
Côté client, une fois la page reçue, le HTML sert de base au navigateur pour construire un DOM qui permettra d'afficher le site web. C'est alors le code JavaScript appelé par la page qui permettra de changer le DOM et donc, de faire des interactions à l'écran.
Le développeur à donc deux travaux, développer un code qui fonctionne côté serveur et développer un autre code qui fonctionne côté client (le serveur web étant là passerelle entre client / serveur), d'où la séparation connu des rôles de développeur frontend (partie cliente) et développeur backend (partie serveur).
Imaginez que l'on puisse, à partir d'exactement le même code, produire du code côté serveur et côté client ! C'est ce que l'on appelle l'isomorphisme. Un code isomorphique est un code qui peut-être exécuté par le serveur et par le client.
Nous allons donc utiliser le sujet de l'isomorphisme comme fil conducteur dans cet article pour traiter :
de l'import / export de Modules ECMAScript en version 6,
du JavaScript côté serveur avec Node.js,
des équivalences ECMAScript version 5 pour le require / export,
de l'isomorphisme exploitable pour faire du web avec Vanilla JS et Node.js.
Il y a quelque temps, j'expliquais qu'il était difficile d'obtenir un travail Front-end de qualité avec des Frameworks CSS HTML-Driven. Le gros reproche que je fais à ces Frameworks est de prendre le contre pied de l'approche du W3C qui met tout en œuvre avec HTML5 et CSS3 pour complètement effacer toute trace de design dans l'architecture HTML et la rendre structurellement sémantique.
Un Framework CSS c'est vraiment pratique pour ne pas trop se mouiller et gagner du temps parait-il. On me dit d'ailleurs souvent que les systèmes de Grid c'est bien pratique. Ce que j'en pense pour ma part c'est qu'on ne peut jamais sortir des chemins battu d'un Framework lourd à moins de parfaitement connaître les mécanismes de celui-ci pour le contrer. Et dès lors qu'on est assez aguerrit pour comprendre des mécanismes menant à des « abstractions qui fuient », on est alors assez aguerrit pour s'en passer.
Sachez que l'on peut facilement se passer de Framework pour gérer une grille Responsive Web Design propre et maintenable en évitant ainsi d'horribles codes comme <div class="header col-xs-12 col-sm-6 col-sm-push-6 text-right-sm bg-info"> tout en restant maître de ce que l'on fait.Cette page CodePen en est un exemple.
Pour les personnes en charge de l'édition de contenu, remplir des liens est souvent source de problème car, là où la page des termes et conditions avaient toujours été une page interne au site, la voilà devenu un fichier PDF ou une page plus globale hébergée sur un autre site web ; ce qui demande l'ouverture d'un nouvel onglet pour s'afficher. Et le pire dans tout cela, c'est que c'est juste pour la version du site en Vulcain ! Il va donc falloir laisser ces mêmes personnes gérer eux-mêmes la propriété target ou...
...utiliser un script intelligent qui va ajouter les target="_blank" là ou ils sont nécessaires !
Cela est également très pratique quand on rédige ses pages en Markdown.
En tant que traducteur principal de la documentation officielle française de Vue.js, lors de la traduction de la page Transitions d'entrée, de sortie et de liste, j'ai été bluffé par la simplicité de gestion des animations de transition proposé par Vue.js. J'ai mis un peu de temps à comprendre exactement comment ça pouvait fonctionner sous le capot et je vous propose de faire ce cheminement de compréhension ensemble à travers cet article.
Cela vous permettra :
De reproduire une fonction permettant de réaliser des animations de transition simple.
De comprendre comment fonctionne le système d'animation de transition de Vue.js.
Vous avez un pied dans le monde du numérique depuis quelques années, ou vous côtoyez les métiers du web de près ou de loin, et pourtant vous ne comprenez pas totalement encore les problématiques des développeurs Front-end, ou même maintenant des développeurs Full-stack.
Pourquoi finalement ne peut t-il pas « simplement » y avoir un développeur web comme au bon vieux temps. Quelle est là réelle différence avec un intégrateur HTML/CSS ? Pourquoi le web client n'est t-il plus si abordable pour les développeurs ? Pourquoi coûte t-il si cher à présent ?
Je vous propose, à partir d'une petite discussion fictive entre, un acteur du numérique qui n'a plus l’œil partout, et un développeur Full-stack sur le feu, de mettre en lumière en quoi le web d'aujourd'hui est « compliqué ».
Cet article est inspiré et adapté en français de l'article « How it feels to learn JavaScript in 2016 », lui-même inspiré par « It's The Future » que j'ai modifié pour y apporter ma propre expérience. Vous pouvez lire les articles originaux respectivement ici et ici.
Cet extrait n'est qu'une mise en situation, et tout comme n'importe quelle bibliothèque JavaScript, il ne devrait pas être pris trop au sérieux !
Je suis fan de Munchkin depuis des années maintenant ! Mais j'ai un assez gros problème depuis quelques temps avec le Munchkin : plus les extensions augmentes et plus j'ai des difficultés à pouvoir jouer avec des jeux équilibrés. Vous avez peut-être le même sentiment et si vous vous êtes déjà confronté aux problèmes listés ci-après, cette page peut vous être utile !
Beaucoup de design demande que les bordures des cadres de contenu soient des images pour avoir des bords aux motifs complexes ou faire des effets d'ombre. Bien qu'il existe des propriétés CSS3 qui gèrent cela à présent, la compatibilité sur tous les navigateurs ne sera possible que si ceci est réalisé avec du CSS standard et du HTML.
J'ai longtemps utilisé jQuery. Puis Vanilla JS comme on appelle si élégamment le JavaScript implémenté nativement. Je surveillais d'un œil les Knockout et compagnie sans jamais réellement m'y investir. Ce fut également le cas avec AngularJS, tellement super-héroïque et sur toutes les lèvres ! Du MVVM paraissait t-il. Un nom barbare à se retaper alors que je terminais tout juste de comprendre en profondeur les tenants et aboutissants d'une architecture MVC(2). Non merci.
Autant vous le dire : pour ma part je ne jurais que par la séparation des rôles. Je ne voulais pas retourner à du HTML mélangeant de la structure et du comportement, avec des attributs invalides W3C et un code source à chialer. Ça m'a bien conforté dans l'idée que jQuery ou Vanilla JS restaient des valeurs sûr !
Même si j'ai partiellement compris l'utilité d'un tel changement grâce à mes études de surface sur Aurelia, React puis Angular, il semble que j'ai trouvé la réponse définitive à la bonne raison d'abandonner jQuery grâce à l'étude de Vue.js. Et en une simple après midi de lecture ! Je ne jure plus que par cette bibliothèque à présent !
S'il y a bien une action redondante et qui nécessite de passer par la case JavaScript, c'est bien la validation des formulaires ! Mais sachez qu'il est possible de les valider sans utiliser une seule ligne de code ! J'avoue, je triche un peu quand je dis ça. En réalité il n'y a rien de magique et il faudra tout de même inclure trois scripts pour réaliser cela, mais il ne sera pas nécessaire que vous écriviez du JavaScript.
Voyons ici quel sont ces scripts et parcourons les différents cas de figure pour valider des champs vides, vérifier qu'un email est bien formé ou encore qu'une confirmation de mot de passe correspond bien au mot de passe initialement tapé. Par exemple, pour vérifier qu'un champ « Pseudo » est bien remplis et indiquer la place de son message d'erreur, il suffirait de le déclarer dans un formulaire comme ceci :
Je viens de voir un code allembiqué permettant de maintenir la hauteur de deux <div> côte à côte. Problème ? Ces éléments ne sont pas côte à côte en version mobile mais l'un sous l'autre : et maintenir la hauteur dans ce cas là ne sert à rien. La semaine d'avant, j'ai vu un code avec une cascade de if permettant d'ouvrir une vidéo dans une popup sur PC et d'ouvrir un lien Youtube sur mobile. Bien évidemment, les petits écrans PC ouvraient une popup alors qu'il aurait été intéressant qu'ils ouvrent aussi un lien. Je vous fais l'impasse sur les comportements au redimensionnement de la fenêtre.
Bref, lançons-nous dans un petit exercice pour permettre un code JavaScript Responsive Web Design, sans se soucier de l'appareil qui l’exécute.
Dans cet article il ne va pas être question d'expliquer l'utilité du point virgule (« semi-colon ») ; ou encore les bienfaits de l'opérateur d'égalité stricte (« strict equality operator ») === mais plutôt de vous démontrer par l'exemple comment produire du code que vous et les autres pourrez relire sans entrer dans les détails si cela n'est pas nécessaire.
Nous allons tout au long de cet article aborder plusieurs notions comme :
La programmation par intention (« intentional programming ») ou le fait de rassembler et nommer chaque suite d'instruction dans une fonction pour rendre le code aisé à la relecture.
La programmation par fonction de rappel (« function callback ») ou le fait de déléguer à une fonction externe ce qu'il va se passer à la fin d'une suite d'instruction.
La programmation par entrée / sortie (« I/O ») ou le fait que chaque fonction doit clairement définir ce qu'elle attend en entrée (« inputs »), et ce qu'elle renvoit en sortie (« outputs »).
La programmation asynchrone ou le fait d'attendre un évènement ou un temps précis sur un tour (« tick ») de la boucle d'évènement (« Event Loop ») avant l'exécution du code.
C'est parti pour apprendre tout ça à travers un exemple d'upload de fichier.
Lors des reviews d'intégration HTML à partir de valeurs fournis dans un PSD, on m'a fait remarquer que « les tailles de polices n'étaient pas bonnes » car elles étaient en rem et non en px. Aujourd'hui pire, on me somme de remplacer tous les rem par des px. C'est tout, c'est comme ça. Peut-être parce que l'on a peur que la conversion rem en px ne soit pas juste ou peut-être simplement parce qu'on ne sait pas bien à quoi sert le rem.
Sans entrer dans des détails techniques poussés, je vais vous expliquer pourquoi j'utilise rem.
J'en vois déjà venir d'assez loin : « les iFrames c'est old school ». Ça me rappel l'époque ou les Frames « c'était old school ». Pour les gars du fond, une iFrame permet d'insérer dans la page courante d'un site le contenu complet d'une autre page. Et si vous ne vous y intéressez plus car vous n'en voyez pas l'intérêt, sachez que d'autres peuvent le voir.
Effectivement, vous n'êtes pas à l'abri de retrouver une page de votre site dans l'iFrame d'un autre site. À partir de là, pas mal de scénarios sont envisageables ; du moins dérangeant comme la solicitiation de votre serveur à chaque fois que la page du site embarquant votre page est réclamée aux plus génants comme le détournement de clic (clickjacking).
Je vous propose à travers cet article de découvrir Node.js pour le système d'exploitation Windows 7, 8 et 10. Node.js est multi-plateforme et s'exécute tout aussi bien sous Unix que sous Mac. Mais QUID de Windows ? Vous allez voir que c'est assez trivial même si certains modules dépendent de quelques logiciels externes pour compiler (python27, msvc2013). Assez rapidement donc, il vous sera possible de développer des sites web et applications web très interactives et avec une grande vélocité d'exécution le tout avec JavaScript !
Ce billet fait partie de la collection ES3 dans le détail et en constitue le Chapitre 2.
Nous déclarons des variables et des fonctions avec lesquels tournent nos programmes. Mais comment, et quand l'interpréteur trouve ces données ? Que se passe t-il quand une référence à un objet est demandée ?
J'ai trouvé l'exemple exposé réellement pertinent et faisant une veille ponctuelle sur les médias sociaux, c'était l'occasion pour moi de faire un petit exercice de Zététique.
Dans ce billet de blog, nous allons comparer trois grandes différentes manières d'interroger une base de données relationnelle avec le langage de programmation JavaScript depuis Node.js souvent croisés sous les termes de “Raw SQL”, “Query Builder” et “ORM”.
Les bases de données sont au cœur du stockage de l'état de presque toutes les applications web. C'est pourquoi il est essentiel de bien prendre en charge les interactions avec la base de données pour garantir le bon fonctionnement d'une application JavaScript. Une façon d'interagir avec bon nombre de bases de données relationnelles est d'utiliser le SQL (“Structured Query Language”). Le SQL permet de changer très facilement de système de base de données ou de client utilisant cette base de données. Avec votre client, vous pouvez ensuite effectuer les interactions CRUD typiques : C (“Create”) pour Créer, R (“Read”) pour lire, U (“Update”) pour mettre à jour et D (“Delete”) pour supprimer des données.
Après avoir lu cet article, vous en saurez plus sur les différences entre du SQL brut (“Raw SQL”), un constructeur de requêtes (“Query Builder”) et un mappage d'objet-relationnel (“ORM”). Vous saurez également comment utiliser chacun d'entre eux en JavaScript par l'exemple.
Bien que cela ne soit pas nécessaire à la lecture et la compréhension de cet article, tout le code de ce billet est testable après installation du projet associé qui se trouve dans ce dépôt GitHub. Vous devez juste installer un serveur MySQL et Node.js sur votre environnement local. Nous allons faire la supposition que vous êtes déjà familier avec les bases du SQL et du JavaScript en ce qui concerne la compréhension des exemples. Sinon les conclusions, elles, restent abordables pour les non développeurs également (je suppose, je suis mal placer pour le certifier du coup).
J'ai évoqué pourquoi je n'utilisais pas Bootstrap. Cependant, l'un des pré-requis pour un nouveau projet est de l'utilisé aussi j'ai retroussé mes manches pour approfondir la philosophie et j'ai déjà commencé à me casser les dents !
On parle souvent de la grande vélocité de Node.js et de son brillant avenir. Mais il n'est pas toujours judicieux de l'utiliser. Pour certains cas d'utilisations, c'est le meilleur choix à faire (application web temps réel). Pour d'autres cas, ça le deviendra mais c'est encore un peu tôt (CMS web). Et pour d'autre il ne sera jamais réellement adapté (intelligence artificielle). Voici l'adaptation française d'un article de Felix Geisendörfer, contributeur Node.js. Il nous explique de manière pragmatique comment raisonnablement et rationnellement il est possible d'utiliser Node.js pour son business.
« Maintenant que vous êtes au point sur l'utilisation de Node.js, il est temps de convaincre votre boss. Enfin peut-être. J'ai eu l'occasion de conseiller différente entreprise sur la question : Node.js est la bonne technologie ? Et parfois, la réponse est tout simplement non.
Ce guide est ma collection opiniâtre des conseils pour ceux d'entre vous qui veulent savoir si Node.js fait sens pour leur entreprise, et si oui, comment convaincre la direction.
Connaissez-vous ce petit code de triche qu'est le Konami Code ? Ce code à entrer dans les jeux vidéos permet de débloquer des options secrètes. Je vous propose de l'implémenter sur vos sites web en JavaScript avec une petite API maison gérant le clavier et le tactile. Suivez le guide !
L'API présenté dans cet article lève un événement JavaScript quand vous entrez la célèbre séquence du Konami Code « Haut Haut Bas Bas Gauche Droite Gauche Droite B A » avec votre clavier. Cela marche également avec votre doigt en glissant « Haut Haut Bas Bas Gauche Droite Gauche Droite » puis en faisant « Tap Tap ».
Je rencontre souvent des personnes se plaignant de problèmes de z-index et qui les évitent ou se contente de dire que les z-index ça pose problème. Bien souvent le problème vient du fait que le développeur ne s'attend pas à ce que la priorité d'affichage des z-index fonctionnent en cascade dans le DOM. Voyez plutôt l'exemple suivant :
Connaissez vous les langages Markdown ? Mais si, il est probable que vous en connaissiez sans même savoir qu'ils pouvaient être nommés. Vous avez déjà écrit un texte sur un Wiki ? Rédigé une carte sur Trello ? Rédigé un Readme sur GitHub ou sur BitBucket ? Un commentaire sur CodePen ? Vous les avez déjà croisés ces .md rarement reconnus de base par les bloc-notes.
Non ? Si cela ne vous parle pas, sachez que Markdown pourrait devenir votre meilleur ami pour écrire des spécifications précises ou vagues sur vos projets, seul ou avec vos collègues avec un minimum d'efforts grâce à StackEdit.io. Vous pourriez même au final écrire toutes sortes de choses facilement !
Vue.js est un framework JavaScript client progressif permettant de créer, maintenir et évoluer des interfaces utilisateurs en liant les données utilisées entre la Vue et le Model. C'est une alternative sérieuse à React, Angular et les autres frameworks MVVM (Modèle Vue VueModèle).
J'ai eut l'occasion d'essayer Vue.js dans sa version 1 et son extrême simplicité et flexibilité m'a séduite. À l’instar de NodeAtlas, sa puissance vient de ses fonctionnalités intégrables de manière évolutives et versatiles ; on peut tout aussi bien utiliser Vue simplement sur le formulaire d'une page ou à plus grande échelle avec des composants et du routage à travers l'architecture d'un site complet.
Cependant, là où en version 1, Vue paraissait une alternative séduisante à AngularJS (aka Angular 1) ou Knockout, dans sa version 2 il devient de plus une alternative sérieuse à Angular (aka Angular 2), React et les autres frameworks MVVM tant sur le plan des fonctionnalités que des performances.
Pour faire simple —si vous débarquez dans le monde des framework JavaScript client MVVM et que vous ne savez pas quoi choisir— vous devriez choisir Vue ! Quoi qu'il arrive, il sera un choix pertinent pour les cas d'utilisation que vous en ferrez.
Nous allons dans cet article :
rapidement exposer pourquoi vous devriez utiliser Vue en lieu et place de Angular ou React dès maintenant et
lire la traduction des explications approfondies à propos des différences entre Vue et les autres frameworks.
Une solution rapide et qui fonctionne sur tous les navigateurs à partir de IE9 est le centrage vertical avec la valeur CSS3 translateY de la propriété transform.
Pour mettre cela en place, trois simples propriétés :
On place l'élément en relatif pour le repositionner par rapport à son élément parent avec position: relative;.
On déplace l'élément de la moitié de la hauteur de l'élément parent avec top: 50%;, la référence de déplacement étant actuellement son bord haut.
On re-centre l'élément non plus à partir de son bord haut mais de son centre vertical avec transform: translateY(-50%);
Square-Enix (anciennement Squaresoft) a fait publier en France par l'éditeur Piggyback le « FINAL FANTASY IX Le Guide Officiel » que vous pouvez retrouver ici dans lequel les 180 pages qui couvrent cet ouvrage ne mentionnent pas tous les secrets de FINAL FANTASY IX. Ces secrets provenant du contenu exclusif gratuit en ligne et disponible sur le site PlayOnline on aujourd'hui disparu… Mais je vous propose de les retrouver !
Qu'est-ce que le REPL ou l'exécution de Node.js dans un invité de commande et comment l'utiliser ? Une traduction de l'article How do I use node's REPL?
Je vais créer une série de billets où je souhaite mélanger trois de mes passions : FINAL FANTASY, la Zététique et les Technologies de l'Information et de la Communication : on y parlera d'IA (Intelligence Artificiel) avec notamment de l'OCR (Optical Character Recognition) permettant de reconnaitre des images, des plateformes comme DeepL fournissant des traductions ou encore de ChatGPT, l'assistant parfait pour décortiquer un texte en japonais ! Et comme ce serait triste de s'amuser tout seul, je vais également créer un groupe Facebook pour m'aider dans cette tâche.
N'avez-vous jamais rêvé de manipuler votre DOM aussi facilement côté serveur que dans votre navigateur ? N'avez-vous jamais cherché un équivalent à Vanilla JS côté serveur dans l'espoir de manipuler aisément les fragments de DOM de vos moteurs de template avant envoie côté client ? Êtes-vous tombé amoureux de JavaScript ? Ce langage étrange qui semble plat, mais qui est finalement objet, sans type mais finalement typé, procédurale mais finalement événementiel, mono-thread mais finalement multi-traitement asynchrone...
Et si vous réalisiez vos développements Back-end en JavaScript ? C'est possible avec Node.js !
Une étape bien trop souvent oubliée lors de la réalisation de scripts JavaScript est la gestion des erreurs. On se contente de colmater les problèmes à l'aide de try/catch quand ceux-ci sont remontés par l'interpréteur et... et c'est tout.
Nous allons voir dans cet article comment créer rapidement un système permettant de surveiller si une touche du clavier est enfoncée lors de l'exécution d'une action dans votre navigateur ou mieux, si une série de touche est enfoncée pour autoriser / lancer l'exécution d'une action lors de la pression, par exemple, sur « Ctrl + Alt + E ».
Cet article de blog se penche sur une distinction syntaxique qui est malheureusement assez importante en JavaScript : la différence entre les expressions et les structures de contrôle (aussi appelées, dans certains cas, déclarations).
Mais le JavaScript n'est pas typé ? Mais si, il y en a 13 ! Ah non, il y en 7... Bah il me semble qu'il y a Object, Function, Array, Math, String, Number, Boolean. Et tu fais quoi de RegExp ? Attends, Function c'est pas un type, c'est un sous type mais Null c'est un type... ? Ho là là...
Si vous faites du jQuery à vos heures ou même pas mal de JavaScript sur vos sites web, il est temps d'apprendre tout ce qu'il y a à savoir sur le typage implicite de JavaScript, car oui : contrairement à ce que certain vous ont dit, JavaScript manipule des éléments typés, on peut même dire que le JavaScript est faiblement typé et dynamiquement typé si vous voulez tout savoir. Les fonctions (et les instances) Object, Function, Array, Date, String, Number, Boolean, RegExp, Error ou encore les objets globaux, Math et JSON : tous sont d'un seul et même type, le type Object. Pourtant String, Number et Boolean sont eux-mêmes un type à par entière en plus des deux petits spéciaux les type Null et Undefined.
Si vous deviez retenir quelques trucs rapidement à propos du JavaScript et des types ça serait que :
Le JavaScript n'a que 6 types : Object, Number, String, Boolean, Null et Undefined.
À part le type Object : les 5 autres types sont dit des types primitifs.
Les types Null et Undefined sont des types spéciaux.
La Function n'est qu'un type Objectqui peut être exécuté et instancié avec « new ».
Array, Date et RegExp sont des types Object instanciables (Function).
Math et JSON sont simplement un type Object (ne s'instancie pas avec « new »).
Bien que Number, String et Boolean soient des types primitifs, il existe un équivalent de type Object instanciable (Function) pour chacun d'eux (à ne pas confondre).
Je vais dans un premier temps vous proposer la traduction d'un article de Dmitry Baranovskiy —développeur JavaScript expérimenté— qui explique très bien les types en JavaScript. Je lèverai le doute sur le fameux sixième type (Null ou Function). Et je vous fournirai des lignes de code test pour mettre en évidence ce qui a été expliqué.
Dans cet article les propos entre [ ... ] sont les miens ainsi que ceux qui ne sont pas entre « ... ».
Si je vous parle de dés, immédiatement vous imaginez un petit cube à 6 faces numérotées de 1 à 6 : c'est ce que l'on appel un d6 dans le jargon des jeux de rôle. Mais le d6 n'est pas le seul, et surtout, le d6 plus performant en terme d'équilibre de hasard.
C'est pourquoi je souhaite vous présenter le seul dé capable de simuler à lui seul des dés comme les d4, d6, d8, d10, d12 ou d20 et j'en passe tout en étant le plus équilibré qu'il soit possible de l'être : j'ai nommé le d120 !
Je vous propose de découvrir dans cet article :
pourquoi le d120 est appelé (ici) le dé ultime,
comment le d120 peut être à lui seul utilisé pour faire office de d1 jusqu'au d119 (en passant bien entendu par le très utile d100),
les tables de correspondance associées des dés multiples de 120,
les outils pour aligner votre d120 sur vos statistiques ou aligner vos statistiques sur votre d120.
les idées originales pour profiter des 120 valeurs à votre disposition.
On finira bien entendu par le moyen de vous procurrer le d120 !
Si vous êtes développeur JavaScript et que vous cherchez des exemples d'utilisation de Vue.js à la volée (comme on utiliserait simplement jQuery), ou que vou souhaitez vérifier les fonctions utilisées dans cet article, vous pouvez jeter un œil au code source de cet article derrière le CodePen suivant : https://codepen.io/MachinisteWeb/pen/qGQLvp